Pologne. Le gouvernement conservateur plebiscité par son peuple
Alors qu’en France, la côte de popularité d’Emmanuel Macron et de son Premier ministre s’effondre à peine le début du quinquennat entamé (56 % d’avis défavorables), en Pologne, 52 % des sondés soutiennent le Premier ministre conservateur, Beata Szydło.
Les Polonais semblent être hermétiques à la propaganda orchestrée par les instances dirigeantes de l’Union Européenne (bien relayées médiatiquement par la presse mainstream). Par ailleurs, 43% des Polonais soutiennent le gouvernement formé par le parti de la loi et de la justice, arrivé au pouvoir à la fin de 2015. Un score jamais atteint jusqu’ici tandis que seuls 30% des sondés se déclarent mécontents (24% ne se déclarent ni partisans, ni opposants).
Par ailleurs, 53 % des sondés soutiennent les politiques économiques du gouvernement selon une étude réalisée par CBOS.
Au mois de mai, alors que l’UE menaçait ouvertement la Pologne, Beate Szydlo était montée au créneau pour défendre son peuple :
«La Pologne ne cédera pas à aucun chantage de la part de l’Union Européenne. Nous n’allons pas participer à la folie des élites bruxelloises», avait déclaré Mme Szydlo lors d’un débat à la Diète.
«Moi, j’ai le courage de demander aux élites politiques: où allez vous? Où vas-tu Europe! Relève toi (…) Sors de ta léthargie! Sinon tu pleureras tous les jours tes enfants», avait lancé cette femme conservatrice, qui n’entend pas que son pays se laisse dicter sa conduite à tenir sur l’immigration par des instances non élues à Bruxelles et qui de surcroit se montrent au quotidien incapables d’endiguer l’immigration, et de stopper le terrorisme islamiste qui frappe l’Europe où il veut, quand il veut.
Article paru sur le site Breizh Info.
Vous avez aimé cet article ?
EuroLibertés n’est pas qu’un simple blog qui pourra se contenter ad vitam aeternam de bonnes volontés aussi dévouées soient elles… Sa promotion, son développement, sa gestion, les contacts avec les auteurs nécessitent une équipe de collaborateurs compétents et disponibles et donc des ressources financières, même si EuroLibertés n’a pas de vocation commerciale… C’est pourquoi, je lance un appel à nos lecteurs : NOUS AVONS BESOIN DE VOUS DÈS MAINTENANT car je doute que George Soros, David Rockefeller, la Carnegie Corporation, la Fondation Ford et autres Goldman-Sachs ne soient prêts à nous aider ; il faut dire qu’ils sont très sollicités par les medias institutionnels… et, comment dire, j’ai comme l’impression qu’EuroLibertés et eux, c’est assez incompatible !… En revanche, avec vous, chers lecteurs, je prends le pari contraire ! Trois solutions pour nous soutenir : cliquez ici.
Philippe Randa,
Directeur d’EuroLibertés.