Donald Trump a-t-il ouvert la boîte de Pandore sur la gestion du Covid ?
Un décret signé par Donald Trump le 14 février dernier a bien été relayé dans les médias français, mais étrangement sans déclencher de cris d’orfraie comme d’autres initiatives du Président réélu. Et pourtant…
Pourtant, ce n’était pas n’importe quel décret anodin puisqu’il interdit désormais le financement fédéral des écoles imposant le vaccin contre la Covid-19.
Pourquoi s’en prendre ainsi à la gestion de la pandémie de nombreux gouvernements, principalement occidentaux ? Simplement parce qu’elle fut celle de la présidence Biden jusqu’à ces jours derniers ?
Certes, cette gestion qui n’a eue d’autre sens que de terroriser les populations, fut mise en œuvre par incompétence pour certains dirigeants, par calculs électoraux pour d’autres, mais surtout pour la plupart par simple affolement, ces dirigeants préférant se mêler aux troupeaux de panurge des adeptes du « principe de précautions », bien utile, sinon vital pour leurs éviter d’avoir à répondre de leurs décisions et, pour quelques-uns, à se maintenir au Pouvoir, tel le locataire (encore) à l’Élysée à ce jour.
Mais au-delà du bien-fondé de la portée bassement financière d’un tel décret, une question, tout de même, devrait nous interpeller tous : Donald Trump et son administration ne doivent-ils pas faire face à d’autres sujets plus actuels, plus cruciaux, plus urgents que raviver ainsi la polémique sur la Covid-19 ?
Tout de même, c’était il y a désormais plus de 5 ans… et seuls quelques humanoïdes frôlant la déficience mentale nous rappelle encore la folie qui désempara nos sociétés quand nous les croisons dans les rues (ou pire : seuls, au volant de leur totomobile), étouffant sous des masques FFp2, parfois usés jusqu’à la trame quand ils ne parviennent plus, comme certains, à se les faire rembourser en agrandissant le trou de la sécurité sociale…
Alors, pourquoi, oui pourquoi, Donald Trump a-t-il signé un tel décret ? Surtout après avoir, à peine revenu à la Maison-Blanche, et comme nous le rappelle le site (en français) The Epoch Times « réintégré les membres des forces armées qui avaient été renvoyés pour avoir refusé de se faire vacciner contre le Covid, en leur restituant intégralement leur salaire et leurs avantages sociaux. Il a également annulé l’ordonnance de l’ancien président Joe Biden imposant la vaccination à certains employés fédéraux, entrepreneurs fédéraux et voyageurs internationaux, malgré le fait que Joe Biden ait lui-même abrogé ces obligations en mai 2023. »
Certes, c’était une des promesses de campagne de The Donald : « Pas un centime à une école imposant le vaccin [anti-Covid-19] ou le port du masque »… Est-ce donc le fait qu’un élu fasse ce qu’il a promis à ses électeurs en tenant ses engagements ? Il est vrai que les éminents observateurs de la vie politique de ce côté-ci de l’Atlantique n’y sont pas tellement habitués…
Ou leur sidération ne témoigne-t-elle pas d’une crainte autre, d’une possible appréhension d’un déluge imminent, tels ces habitants d’un littoral, scrutant subitement l’océan, ne voyant encore rien, mais dont un sixième sens les prévient de l’imminence de quelque tsunami dévastateur ?
Philippe Randa et le Dr Bernard Plouvier ont publié un terrible réquisitoire sur la gestion du covid : Verbatim d’un délire sanitaire, éditions Dualpha, collection « Vérités pour l’Histoire », 243 pages, 25 €. Pour obtenir ce livre, cliquez ici.
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Philippe Randa,
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