Et si le « pass vaccinal » devenait l’enjeu de l’élection présidentielle ?
Deux ans que dure la grande dinguerie organisée autour de la pandémie covidienne et tout de même un constat à faire en France : la quasi-totalité des leaders des « grands » partis a étrangement adopté sur la question une position attentive. À part quelques réserves, quelques nuances sur telles ou telles mesures gouvernementales de-ci, de-là, aucun n’a osé remettre en question sa gestion par le président Macron.
Et pourtant… N’y a-t-il pas lieu de s’inquiéter du monstrueux endettement de la France (« La dette de la France grimpe à 118,2 % du PIB à l’issue du premier trimestre 2021 », francetvinfo.fr, juin 2021) ? De l’état des services hospitaliers qui ne cesse de se détériorer depuis le début de la crise (« Une étude du ministère de la Santé montre que 5 700 lits d’hospitalisation complète ont été fermés en 2020. Cette tendance, installée depuis des années, s’est maintenue malgré la crise sanitaire » (Ouest-France, septembre 2021) ? De la désertion du personnel hospitalier (« Entre 2018 et 2021, un peu plus d’un millier d’étudiants infirmiers en formation ont “démissionné avant la fin de leurs études” » (Europe 1, octobre 2021)… et aussi, et surtout, n’y a-t-il pas lieu de s’émouvoir des restrictions continues des libertés individuelles : après les confinements (« du 17 mars au 10 mai 2020 (non inclus, soit 1 mois et 25 jours) ; du 30 octobre au 15 décembre 2020 (non inclus, soit 1 mois et 14 jours) ; du 3 avril au 3 mai 2021 (non inclus, soit 28 jours) », le port du masque à l’utilité plus que contestée sinon contestable… et, bien évidemment, le pass sanitaire en passe de muter, désormais, en pass vaccinal…
Toutes ces mesures ont visiblement, à défaut d’avoir arrêter la pandémie, tétanisée les leaders des « grands » partis politiques. Mais qu’en est-il des électeurs ? Réponse en avril prochain, bien sûr… mais une pétition (www.leslignesbougent) contre le Pass vaccinal qualifiée d’« atteinte majeure à l’État de droit » a déjà réuni plus de 1 250 000 signatures en quelques semaines… Un signe ?
Et si le « pass vaccinal » devenait le véritable enjeu de l’élection présidentielle ?
EuroLibertés : toujours mieux vous ré-informer … GRÂCE À VOUS !
Ne financez pas le système ! Financez EuroLibertés !
EuroLibertés ré-informe parce qu’EuroLibertés est un média qui ne dépend ni du Système, ni des banques, ni des lobbies et qui est dégagé de tout politiquement correct.
Fort d’une audience grandissante avec 60 000 visiteurs uniques par mois, EuroLibertés est un acteur incontournable de dissection des politiques européennes menées dans les États européens membres ou non de l’Union européenne.
Ne bénéficiant d’aucune subvention, à la différence des médias du système, et intégralement animé par des bénévoles, EuroLibertés a néanmoins un coût qui englobe les frais de création et d’administration du site, les mailings de promotion et enfin les déplacements indispensables pour la réalisation d’interviews.
EuroLibertés est un organe de presse d’intérêt général. Chaque don ouvre droit à une déduction fiscale à hauteur de 66 %. À titre d’exemple, un don de 100 euros offre une déduction fiscale de 66 euros. Ainsi, votre don ne vous coûte en réalité que 34 euros.
Philippe Randa,
Directeur d’EuroLibertés.
Quatre solutions pour nous soutenir :
1 : Faire un don par virement bancaire
Titulaire du compte (Account Owner) : EURO LIBERTES
Domiciliation : CIC FOUESNANT
IBAN (International Bank Account Number) :
FR76 3004 7140 6700 0202 0390 185
BIC (Bank Identifier Code) : CMCIFRPP
2 : Faire un don par paypal (paiement sécurisé SSL)
Sur le site EuroLibertés (www.eurolibertes.com), en cliquant, vous serez alors redirigé vers le site de paiement en ligne PayPal. Transaction 100 % sécurisée.
3 : Faire un don par chèque bancaire à l’ordre d’EuroLibertés
à retourner à : EuroLibertés
BP 400 35 – 94271 Le Kremlin-Bicêtre cedex – France
4 : Faire un don par carte bancaire
Pour cela, téléphonez au 06 77 60 24 99