La « bascule à Charlot » bientôt de retour ?
Douche froide pour certains avec ce récent sondage d’Ipsos pour le quotidien Le Monde : 55 % de nos compatriotes voudraient le rétablissement de la peine capitale. On ne s’étonnera guère qu’ils se comptent à 85 % au RN et à 71 % (+ 23 points) chez LR, mais davantage qu’ils soient en « forte progression » chez LFI et au PCF : + 31 % en un an.
Un sondage n’est certes qu’une information à un instant précis qui ne peut donner qu’une perspective nullement gravée dans le marbre. Il est également certain qu’au moment des attentats islamistes, les Français furent plus nombreux encore à espérer que les fous d’Allah n’échappent pas à un juste et expéditif châtiment des forces de l’ordre.
Mais le souvenir de l’horreur s’estompant, les discours larmoyants sur la condition des criminels, qu’ils soient racailles de banlieue ou fanatiques religieux, reprenant de la vigueur, on ne pensait qu’à part quelques nostalgiques d’un passé révolu depuis… 1981 !, les partisans d’un rétablissement de la peine de mort se comptaient sur les doigts d’une demi-main. Enfin, à en croire les discours politiquement corrects bien sûr, toujours et encore. Mais patatras !
Commentant ce sondage, Les Dernières nouvelles d’Alsace indiquent néanmoins que « la peine de mort reste un sujet clivant dans la société française. Mais son rétablissement a peu de chance d’advenir un jour ». Pour preuve, d’après ce quotidien, les engagements de la France vis-à-vis des autres pays de la planète. Mais un engagement n’est-il pas, lui aussi, qu’une vérité à un instant précis guère davantage gravée dans le marbre que celle d’un simple sondage ?
Ne l’a-t-on pas vu, en mars dernier avec la fin de deux tabous pourtant bien ancrés dans les discours officiels, soit la fermeture des frontières nationales en 48 heures pour cause de terreur épidémique ou encore la fin d’un déficit public devant être inférieur à 3 % du PIB (le gouvernement a annoncé en juin qu’il serait de 11,4 % en 2020) ?
Qui peut donc vraiment exclure que la « bascule à Charlot », ainsi qu’on dénommait jadis la guillotine, sorte un jour des musées pour reprendre du service ?
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