Multiples viols en Suède : la police menace… les femmes !
par Manuel Gomez, écrivain.
Après quatre viols de jeunes femmes survenus au cours de la même semaine, la police de la ville d’Uppsala, en Suède, a lancé un avertissement, non pas aux violeurs, aux agresseurs sexuels, aux voleurs, mais aux femmes qui sont les victimes potentielles de cette racaille : « Vous êtes libres de vous promener dans les rues éclairées mais non pas seules dans les allées ou les parcs. La police ne peut pas être partout. »
Ainsi donc vous voilà prévenues, femmes de Suède. La police n’est pas là pour appréhender les criminels mais pour vous demander de ne plus sortir la nuit, de rester chez vous car, dans le cas contraire, si vous êtes violées, agressées, volées, il ne faudra pas vous plaindre, vous l’aurez bien cherché !
À Nantes-Saint-Herblain, dans les rues voisines du gymnase Jeanne-Bernard, les riverains vivent dans l’angoisse depuis que 200 à 300 migrants clandestins ont trouvé refuge, et cela depuis plusieurs mois, depuis fin octobre.
Ils sont excédés par les agressions et l’ont fait savoir à plusieurs reprises depuis cet été à la municipalité et même jusqu’au préfet.
À cause de l’insécurité, ils évitent de circuler dans les environs du gymnase.
Et cela devait arriver un jour ou l’autre : une femme a été violée dans le jardin de sa maison au cours de la nuit du 14 juillet.
En fin de semaine dernière, la députée LREM, Anne-France Brunet, est venue examiner la situation sur place.
Les migrants, très énervés, ont été jusqu’à menacer l’un de ses accompagnateurs et l’ont fait sortir, puis ont renversé les poubelles et tapé sur la camionnette d’un artisan et l’un des migrants n’a pas hésité à sortir un couteau pour les menacer mais, n’ayez aucune crainte, personne n’a porté plainte, il ne faut surtout pas inquiéter ses « chances pour la France » et ne pas les importuner quand ils abusent de l’alcool et des drogues.
Et ce même scénario se reproduit dans de nombreux quartiers des villes de nos provinces sans que les autorités n’interviennent.
La priorité n’est-elle pas l’accueil des migrants, mineurs ou adultes, plutôt que la sécurité et la sérénité des citoyens français ?
Les collectivités locales n’arrivent plus à résorber ce flot de migrants clandestins, surtout mineurs, qui « enfle » de plus de 50 % chaque année. Surtout les collectivités qui se situent le long des autoroutes et des lignes de TGV, utilisées par les filières clandestines très bien organisées.
Six mineurs clandestins, non accompagnés, arrivés jusqu’en France avec des passages payés entre 2 000 et 5 000 euros aux passeurs, PAR QUI ? ont été interpellés dans la nuit de samedi à dimanche et placés en garde à vue au commissariat de Montpellier pour avoir commis successivement quatre vols avec violence sur des piétons « non accompagnés » également.
Ces victimes ont été encerclées et malmenées, se faisant arracher les chaines en or, les sacs à main et les portables en plein centre-ville, rue de l’Écusson, selon une technique baptisée « À la Zidane », mais n’ayez crainte, ils ne tarderont pas à être remis en liberté !
À Grenoble (Isère) c’est un homme âgé de 35 ans qui a été grièvement blessé à coups de couteau, dans la nuit de dimanche à lundi, place Lavalette, attaqué par quatre individus qui ont pris la fuite.
De nombreuses et importantes plaies sur le crâne, les joues et les bras, son pronostic vital est engagé, selon le CHU de Grenoble-Alpes, où il a été transporté.
Pas très loin, à Annecy, vers 2 h 35 du matin, dans la nuit de vendredi à samedi, deux jeunes hommes, âgés de 25 ans et domiciliés en Suisse, ont été agressés, et l’un d’eux lardé de coups de couteau, en plein centre-ville.
Les deux amis avaient eu maille à partir un peu plus tôt, place de l’ancienne Grenette, devant la mairie, avec trois voyous, originaires de Bonneville, qui leur ont volé portefeuilles et portables.
Un quatrième s’est proposé comme intermédiaire et les a accompagnés en direction de Bonlieu.
Quai Eustache Chapuis, sous les arcades entre la place de l’ancienne Grenette et la rue du Lac, pour on ne sait quelle raison, cette racaille a poignardé l’un des deux amis.
Transporté dans un état critique, avec des plaies à l’abdomen, aux urgences de l’hôpital où il a été opéré et sauvé puisque son pronostic vital n’est plus engagé.
Le prétendu négociateur a pris la fuite et un appel à témoin a été lancé.
« Tu m’as dit quoi ? Je prends combien ? T’es un fou dans ta tête », c’est ainsi qu’Abdali, surnommé « Ali du Mercure », a apostrophé le juge Jamet, qui a relevé l’outrage, quand il a été condamné à quatre ans de prison ferme pour avoir réalisé « le sourire de l’Ange » (ouverture de la bouche jusqu’aux oreilles) sur un autre individu lors d’une bagarre sur fond de trafic de stupéfiants, dans le quartier de Miramas, dans les Bouches-du-Rhône.
Ce « sourire de l’Ange » que l’on appelait en Algérie « le grand sourire » quand un militaire ou un civil était égorgé d’une oreille à l’autre.
Des centaines ont été assassinés de cette manière par nos « gentils » ennemis !
Article paru sur le site Riposte Laïque.
Manuel Gomez a publié aux éditions Dualpha : De Gaulle sa face cachée, 254 pages, 27 euros. Pour commander ce livre, cliquez ici.
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