Brèves d’Europe
Union européenne. Pour parler d’une seule voix face au gouvernement britannique, la Commission européenne a obtenu que les administrations des Vingt-Huit n’aient que très peu de contacts directs avec celle du Royaume-Uni. À six semaines de la date possible du Brexit, le 29 mars, cette consigne peut engendrer certaines situations kafkaïennes.
Ainsi, la douane britannique est en train de changer son système d’informatique et n’a pas eu le droit d’échanger avec son homologue française pour lui expliquer les conséquences pratiques de son nouveau guichet numérique.
Après d’âpres discussions, la Commission a décidé de s’opposer à la fusion entre Alstom et l’allemand Siemens, destiné à créer un champion européen du ferroviaire. Les critiques n’ont pas manqué de fuser, notamment Bruno Le Maire qui accuse Bruxelles de servir les intérêts de la Chine.
Allemagne. La députée verte allemande Franziska Brantner a mis en cause le manque d’ambition du nouveau traité entre la France et l’Allemagne. « Il n’y a rien pour faire avancer l’Europe, seulement des belles promesses sans projets concrets » a-t-elle conclu.
Nouveau sujet de réflexion chez notre voisin : les retraites. Sauf que contrairement à ce qui se passe en France où la tendance est à la réduction, les Allemands envisagent de revaloriser fortement les retraites pour quatre millions de retraités. Sans augmenter les impôts.
Italie. Confirmation. Luigi Di Maio, vice-président du Conseil et chef de file du M5S, a précisé : « Nous avons fait un saut en France et nous avons rencontré le leader des Gilets jaunes, Christophe Chalençon et les candidats aux élections européennes de la liste RIC d’Igrid Levavasseur […] le vent du changement a franchi les Alpes. »
Le ministre italien chargé des Affaires européennes, Paolo Savona, 82 ans, va quitter le gouvernement et devrait prendre, non pas sa retraite, mais la présidence de la Consob. L’intérim sera assuré par Giuseppe Conte.
Russie. « Nos partenaires américains ont annoncé qu’ils suspendaient leur participation à l’accord [du traité INF] et nous la suspendons à notre tour », a déclaré Vladimir Poutine. Rappelons que ledit traité (INF), signé entre les USA et l’URSS en 1987, visait à abolir l’usage des missiles terrestres d’une portée de 500 à 5 500 km.
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