Pétitions, tribunes et promotion personnelle…
En attendant les feuilles mortes, pétitions et tribunes se ramassent à la pelle ces temps-ci : entre la pétition exigeant l’interdiction du Zemmour dans les médias, suivie par celle « interdisant d’interdire » le même Zemmour, il y a la tribune signée par 88 personnalités en faveur des victimes de violences conjugales qui rappelle que « tous les trois jours, une femme meurt sous les coups de son conjoint ou de son ancien conjoint… »
C’est triste, infâme, barbare, qui le nierait ? Mais…
Remarquons tout d’abord que, à les lire, seules les femmes semblent être victimes ; jamais les hommes ? Sans doute les cas sont-ils nettement moins nombreux, n’en doutons pas, mais en cette ère de parité obligatoire, peut-être serait-il juste de ne pas les oublier.
Remarquons ensuite qu’il est réclamé des « moyens » supplémentaires, soit « une formation O.BLI.GA.TOI.RE nationale de tous les métiers de loi (…) et un plan d’urgence pour l’hébergement des femmes »… Policiers, gendarmes, juges et magistrats ne sont-ils donc pas aptes à discerner de tels délits ? Moins aptes, en tout cas, que 88 personnalités du Show-bizness ?
Quant à des logements supplémentaires, constatons le nombre de SDF et d’immigrés clandestins augmentant chaque jour dans les rues des grandes agglomérations pour se demander qui va donc bien être prioritaire dans le malheur… On va tirer au sort ?
Remarquons enfin que le cri du cœur lancé dans cette tribune – « Il faut que cela s’arrête » –, ainsi que l’appel à « manifester (son) engagement, (en se) retrouvant toutes et tous le samedi 6 octobre à 14 heures, devant le palais de justice de Paris (pour montrer) à ces femmes que nous leur tendons la main, et que viendra un jour où elles ne seront plus seules – sera sans doute suivi d’effet immédiat par les saltimbanques signataires ; ils ne manqueront pas d’accueillir chacun(e) une victime qui dans son dupleix, qui dans son « home, sweet home » secondaire…
Le coup de promotion gratuite que de telles âmes généreuses s’offre ainsi vaut bien un p’tit hébergement quelques temps, non ?
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