12 juillet 2018

Les demandeurs d’asile non occidentaux coûtent des milliards

Par Euro Libertes

Contrairement à ce que l’on affirmait en 2015, les migrants sont loin d’être un bénéfice pour l’économie. Une étude du mathématicien Jan van Beek, rapportée par WNL, montre au contraire que l’admission de demandeurs d’asile non occidentaux dans le pays entraîne des coûts nets élevés pour la société néerlandaise.

Dans son étude, Van Beek s’efforce d’abord de faire la distinction entre les demandeurs d’asile et les migrants qui viennent aux Pays-Bas pour travailler ou étudier. Il constate chez les premiers une forte dépendance aux prestations de l’aide sociale.

« On peut calculer ce que les gens contribuent aux finances publiques au cours de leur vie et ce qu’ils reçoivent en prestations et en pensions », écrit-il.

Selon lui, le coût des demandeurs d’asile non occidentaux est de « quelques centaines de milliers d’euros », donc beaucoup plus élevé que les cinquante à cent mille dont parlait un rapport statistique de 2003.

Un demandeur d’asile non occidental moyen coûte 250 000 euros au cours de sa vie. Mais si l’on veut tenir compte du regroupement familial et de la naissance d’enfants, ce chiffre doit être multiplié par 4 environ.

Le résultat est qu’un seul demandeur d’asile pourrait coûter un million à la société néerlandaise.

Ce n’est qu’une estimation, mais il faut être conscient de cet ordre de grandeur, qui est « substantiel ».

Nombre de demandeurs d’asile aux Pays-Bas : 2014 (20 000), 2015 (54 000), 2016 (31 000), 2017 (30 000).

Au total, les Pays-Bas accordent l’asile à 131 000 personnes, dont une très grande majorité provient de pays non occidentaux comme la Syrie, l’Afghanistan, l’Erythrée, l’Irak, l’Iran et l’Albanie.

Si nous faisons une estimation prudente, nous pouvons dire que 85% sont non-occidentaux, ce qui signifie que plus de 100 000 migrants non-occidentaux ont reçu l’asile aux Pays-Bas.

En prenant le million de Van Beek par migrant comme estimation, nous arrivons à une charge nette de 100 milliards d’euros représentée par les migrants non occidentaux aux Pays-Bas au cours de leur vie.

Source : Voice of Europe : Non-western asylum seekers to cost Dutch society billions, study shows

Résumé Cenator pour le site LesObservateurs.ch.

EuroLibertés : toujours mieux vous ré-informer … GRÂCE À VOUS !

Ne financez pas le système ! Financez EuroLibertés !

EuroLibertés ré-informe parce qu’EuroLibertés est un média qui ne dépend ni du Système, ni des banques, ni des lobbies et qui est dégagé de tout politiquement correct.

Fort d’une audience grandissante avec 60 000 visiteurs uniques par mois, EuroLibertés est un acteur incontournable de dissection des politiques européennes menées dans les États européens membres ou non de l’Union européenne.

Ne bénéficiant d’aucune subvention, à la différence des médias du système, et intégralement animé par des bénévoles, EuroLibertés a néanmoins un coût qui englobe les frais de création et d’administration du site, les mailings de promotion et enfin les déplacements indispensables pour la réalisation d’interviews.

EuroLibertés est un organe de presse d’intérêt général. Chaque don ouvre droit à une déduction fiscale à hauteur de 66 %. À titre d’exemple, un don de 100 euros offre une déduction fiscale de 66 euros. Ainsi, votre don ne vous coûte en réalité que 34 euros.

Philippe Randa,
Directeur d’EuroLibertés.

Quatre solutions pour nous soutenir :

1 : Faire un don par virement bancaire

Titulaire du compte (Account Owner) : EURO LIBERTES
Domiciliation : CIC FOUESNANT
IBAN (International Bank Account Number) :
FR76 3004 7140 6700 0202 0390 185
BIC (Bank Identifier Code) : CMCIFRPP

2 : Faire un don par paypal (paiement sécurisé SSL)

Sur le site EuroLibertés (www.eurolibertes.com), en cliquant, vous serez alors redirigé vers le site de paiement en ligne PayPal. Transaction 100 % sécurisée.
 

3 : Faire un don par chèque bancaire à l’ordre d’EuroLibertés

à retourner à : EuroLibertés
BP 400 35 – 94271 Le Kremlin-Bicêtre cedex – France

4 : Faire un don par carte bancaire

Pour cela, téléphonez à Marie-France Marceau au 06 77 60 24  99

 

Partager :