24 juin 2018

Migrations

Par admin

Sous réserve qu’il soit adopté par le Parlement européen lors d’une prochaine session plénière, ainsi que par les États membres de l’UE, le nouvel accord intervenu entre le Parlement européen et le Conseil des ministres de l’UE trouvé le 19 juin, afin de renforcer EURODAC, la base de données sur les migrants, devrait voir le jour. Créée en 2003, la base de données EURODAC est utilisée par tous les pays de l’UE ainsi que l’Islande, la Norvège, le Liechtenstein et la Suisse.

La mise à jour du règlement Eurodac fait partie de la plus grande réforme du régime d’asile européen, sur laquelle les 28 ont eu le plus grand mal à s’accorder.

L’accord devrait garantir que des demandes d’asile ne sont pas déposées par une même personne dans plusieurs pays, mais prévoit aussi d’abaisser l’âge pour relever les empreintes des mineurs de 14 à 6 ans « afin d’aider à identifier et à rechercher les enfants disparus, ainsi qu’à identifier des liens familiaux des personnes entrant ou résidant irrégulièrement dans l’UE » et le fichier sera alimenté avec davantage de données : en plus des empreintes digitales, les images faciales et les données alphanumériques (nom, numéro de carte d’identité ou de passeport) des demandeurs d’asile et des migrants en situation irrégulière seront également stockées. Le Parlement européen considère que « la contrainte ne devrait jamais être exercée pour obtenir » ces informations auprès de mineurs. Toutefois, en dernier recours, et lorsque cela est permis par une législation nationale ou européenne pertinente, un degré proportionné de contrainte pourrait être exercé sur les mineurs, sous réserve de respecter leur dignité et leur intégrité physique.

Il y a fort à parier que derrière cette volonté affichée de préserver l’intégrité des mineurs, nul doute que nous observerons mécaniquement un accroissement significatif de l’immigration illégale de mineurs, ce qui pose alors la question d’un « regroupement familial accéléré, par souci humanitaire » (sic).

EuroLibertés : toujours mieux vous ré-informer … GRÂCE À VOUS !

Ne financez pas le système ! Financez EuroLibertés !

EuroLibertés ré-informe parce qu’EuroLibertés est un média qui ne dépend ni du Système, ni des banques, ni des lobbies et qui est dégagé de tout politiquement correct.

Fort d’une audience grandissante avec 60 000 visiteurs uniques par mois, EuroLibertés est un acteur incontournable de dissection des politiques européennes menées dans les États européens membres ou non de l’Union européenne.

Ne bénéficiant d’aucune subvention, à la différence des médias du système, et intégralement animé par des bénévoles, EuroLibertés a néanmoins un coût qui englobe les frais de création et d’administration du site, les mailings de promotion et enfin les déplacements indispensables pour la réalisation d’interviews.

EuroLibertés est un organe de presse d’intérêt général. Chaque don ouvre droit à une déduction fiscale à hauteur de 66 %. À titre d’exemple, un don de 100 euros offre une déduction fiscale de 66 euros. Ainsi, votre don ne vous coûte en réalité que 34 euros.

Philippe Randa,
Directeur d’EuroLibertés.

Quatre solutions pour nous soutenir :

1 : Faire un don par virement bancaire

Titulaire du compte (Account Owner) : EURO LIBERTES
Domiciliation : CIC FOUESNANT
IBAN (International Bank Account Number) :
FR76 3004 7140 6700 0202 0390 185
BIC (Bank Identifier Code) : CMCIFRPP

2 : Faire un don par paypal (paiement sécurisé SSL)

Sur le site EuroLibertés (www.eurolibertes.com), en cliquant, vous serez alors redirigé vers le site de paiement en ligne PayPal. Transaction 100 % sécurisée.
 

3 : Faire un don par chèque bancaire à l’ordre d’EuroLibertés

à retourner à : EuroLibertés
BP 400 35 – 94271 Le Kremlin-Bicêtre cedex – France

4 : Faire un don par carte bancaire

Pour cela, téléphonez à Marie-France Marceau au 06 77 60 24  99

Partager :