À l’assaut de Twitter
Chaque année ce sont des milliers d’usagers des réseaux sociaux qui voient leur compte être fermé ou suspendu pour avoir osé publier des commentaires « ne respectant pas les standards de la communauté ».
Ces standards sont évidemment inconnus du grand public et peuvent être invoqués pour bannir Génération Identitaire qui a organisé une action d’éclat tout à fait légale pour dénoncer l’immigration illégale, Égalité et Réconciliation ou encore celui qui l’anime, Alain Soral.
On le comprend bien, ces fameux standards ne sont qu’un euphémisme pour « rectitude politique ». Ceux qui osent dénoncer le multiculturalisme, le Grand Remplacement ou les bienfaits de la diversité ne peuvent s’exprimer ouvertement sur les réseaux sociaux sans craindre la censure ou la fermeture de leur compte.
Et pourtant, ces réseaux sociaux se vantent d’être des espaces de liberté d’expression. Le discours officiel et les actions sont évidemment deux choses complètement différentes.
Toujours est-il que si la plupart de ceux qui se font fermer leur compte s’en plaignent publiquement et aiment à souligner l’hypocrisie des gestionnaires, aucun ne s’en plaint devant les tribunaux. Aucun, sauf Jared Taylor !
Banni en décembre de la plateforme Twitter à cause de commentaires jugés incompatibles avec les standards de Twitter, l’auteur et directeur d’American Renaissance, Jared Taylor a décidé de se lancer, tel un David contre Goliath, dans une procédure judiciaire visant à rétablir la liberté d’expression sur Twitter et de faire cesser la censure.
C’est un combat titanesque qu’il a entrepris. Avec plus d’un demi-milliard de dollars de chiffre d’affaires à chaque trimestre, le géant du web peut aligner une équipe d’avocats intimidante, d’autant plus que, dans ce cas précis, les enjeux sont majeurs et une victoire de Taylor aurait de multiples conséquences. Ce n’est pas Taylor contre Twitter, mais bien les dissidents contre la censure.
La semaine dernière, le géant du web a tenté de faire tomber la poursuite devant la Cour supérieure de Californie, mais le juge Harold E. Kahn a plutôt donné raison à Jared Taylor, soulignant son « éloquence » et parlant de cette poursuite comme représentant un intérêt public.
Ironiquement, Twitter a invoqué le Ier amendement, celui faisant de la liberté d’expression un droit fondamental, pour faire valoir son droit d’exclure quiconque de sa plateforme. Lorsque, questionné par le juge à savoir si Twitter considérait avoir le droit de discriminer « en vertu de la religion, du genre, de la préférence sexuelle, d’un handicap physique ou mental » l’avocat a admis que oui, Twitter avait ce droit, bien qu’il ne l’utilise pas.
Voilà une affirmation pour le moins inquiétante, mais qui a le mérite de dévoiler le vrai visage des administrateurs de ces réseaux sociaux qui se considèrent au-dessus des lois, concédant droits et libertés de façon subjective et totalitaire, imitant ainsi les pires despotes.
La poursuite pourra donc aller de l’avant et Taylor pourra défendre la liberté d’expression des internautes devant les tribunaux. La tâche est herculéenne, mais Taylor fait partie de cette race d’hommes qui ne reculent devant aucun obstacle aussi insurmontable puisse-t-il sembler.
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