26 mai 2019

You kaïdi aïdi aïda !

Par Philippe Randa

« Jugées trop coûteuses, les colonies de vacances n’ont plus la cote en France », indique France Info. La faute à… l’Union européenne !

Le journal Marie-Claire nous apprenait ainsi il y a six ans de cela que : «  La Cour de justice de l’Union européenne (avait remis) en cause le Contrat d’Engagement Éducatif (CEE), le jugeant contraire à la législation européenne. Jusque-là, les animateurs de colonies de vacances étaient disponibles 24 heures sur 24 et pouvaient bénéficier d’un jour de repos après une semaine complète de travail. Un statut à part que l’Union européenne a estimé illégal, car il ne respectait pas le repos journalier et le repos compensateur des contrats de travail classique. »

colonies-de-vacances

Les conséquences ne se sont pas fait attendre : alors que dans les années 60, 4 millions d’enfants remerciaient « papa, maman » en leur écrivant « une petite bafouille/Pour pas (qu’y s’fassent) d’mouron/(car on y était) aux p’tits oignons », comme le chantait alors Pierre Perret, ils n’étaient plus que 1,3 million en 2015 et leur nombre décroit toujours chaque année…

« Enfin, une recherche du CNRS le souligne, les lieux d’accueil, qu’ils soient des propriétés d’origine privée (entreprises, églises) ou publique (associations laïques, communes) disparaissent inexorablement, en raison de la lourde charge financière qu’ils induisent, notamment pour l’entretien et la mise aux normes (sécurité, hygiène, règles alimentaires, accès handicap…). Il ne reste ainsi qu’un tiers du patrimoine des bâtiments en fonction en Loire-Atlantique, en Vendée ou dans les Alpes-Maritimes », confirme le site Sciences Humaines.

N’y aurait-il pas toutefois une autre raison ?

« Je n’aime pas confier mes enfants à des gens que je ne connais pas », confie une femme interrogée par France 2… Qu’on ne connaît pas ou, comme pourrait imaginer quelque esprit grincheux, avec lesquels on ne tient pas à vivre… ensemble ?

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