10 août 2016

Racisme : le mépris des conquérants…

Par admin

Barak Hussein Obama est sur le départ. Les « Démocrates » et les médias français nous encensent les bienfaits obamesques. Il est le meilleur, le plus beau, le plus sympathique et j’en passe de ces discours qui nous vantent les qualités du premier Noir élu Président des États-Unis, comme si le fait d’avoir un Président noir avait fait des États-Unis le plus beau pays de l’Amérique.

Qu’en est-il ? Doit-on se payer de prières, d’enchantements, de merveilleux ? L’existence de plus de 30 millions de pauvres ne peut être une bonne nouvelle. La mort de milliers d’Américains sur les différents théâtres de présence américaine n’est pas non plus une prouesse. Avoir fomenté des coups d’États un peu partout sur la planète orientale et européenne n’est pas non plus une réussite. Avoir réveillé la guerre froide non plus.

Obama ne fut pas le Messie revenu sur terre. C’est oublier qu’il est le produit d’un système aux mains de vrais dirigeants ayant la main sur les vraies manettes que sont les finances, les banques, les entreprises d’armements et pétrolières.

Je ne suis pas un fin connaisseur des méandres des pouvoirs. Je suis assez vieux pourtant pour comprendre que huit années d’Obama n’ont pas rendu les États-Unis plus humains, plus proches des citoyens et à la hauteur de son prix Nobel de la Paix.

Huit ans d’Obama suivis peut-être par huit années d’Hilary Clinton ne feront pas des États-Unis un must de la paix dans le monde.

Je suis bien persuadé que les Républicains comme les Démocrates sont aux mains d’un système d’expansion des États-Unis et que les prochaines étapes seront des provocations envers la Russie et la Chine.

Les États-Unis n’ont pas non plus réduit la fracture raciste comme on peut le voir sur cette vidéo qui est d’une clarté sans appel et qui devrait interpeller les fameuses associations « Droit-de-l’hommiste » qui, bien sûr, se taisent et se tairont sur cette évidence américaine. Vous ne la verrez pas non plus sur nos médias pro Obama.

« Tous les Blancs doivent se ranger à l’arrière de la foule ». Une activiste de Black Lives Matter pratique la ségrégation, selon leur race, des participants lors d’une manifestation à l’extérieur de la convention nationale du parti démocrate à Philadelphie. L’activiste a même pointé des personnes blanches et leur a ordonné de se ranger derrière les Noirs ; cet ordre fut relayé dans la foule par une femme musulmane très agitée, toute voilée de noir malgré la chaleur : « Les Blancs doivent se rendre à l’arrière. Les Noirs, à l’avant ». « Prenez votre place légitime, derrière nous ! »

Mais ce n’est pas du racisme bien sûr !

 

En France, le racisme ne serait que du fait des Blancs, des Souchiens, ces « Français de souche ». Les Noirs, les Juifs et les Arabes étant, de fait, de simples et innocentes victimes par naissance comme nous avons pu le voir dans des clips gouvernementaux contre le racisme.

Les Juifs ne sont pas tout à fait dupes puisqu’ils retirent leurs enfants des écoles de la République infestées par l’idéologie de la bien-pensance et du lénifiant « vivre ensemble » et sous les insultes sympathiques de ces « jeunes » gens si plein d’amour, et de tolérance qui vivent dans ces banlieues.

Les jeunes arabes ne sont pas non plus enthousiastes, puisque souvent, dans les cités des banlieues, ce n’est pas le grand amour avec les Noirs. Mais chut, il ne faut pas le dire…

De même, entre les Noirs, pour peu que les uns soient Antillais, qualifiés de Bounty (Noirs dehors, blanc dedans) et Africains de l’autre. Cela oblige les plus faibles des jeunes Antillais à jouer l’Africain de base en oubliant à la fois leur culture créole et leur religion pour complaire à la masse d’abrutis nourris aux biberons des allocs et autres aides sociales.

Quelques femmes tentent de sortir de ces Cités pour vivre normalement, et parfois réussissent. En clair, en leur disant qu’ils sont des victimes, pourquoi voulez-vous qu’ils sachent un jour, qu’ils peuvent être les maîtres de leurs vies. La gauche paternaliste et raciste est une évidence.

Restent les paumés, les petits Blancs des Cités que l’on montre comme des vampires armés de puissantes canines alors mêmes qu’ils n’ont plus de dents, ni même de puissance tant ils sont anesthésiés. Acculturés le plus souvent, et alimentés par les téléréalités imbéciles, ils sont dans leurs cités, enfermés dans les cirques de l’oubli, condamnés à mourir, comme ces Blancs de l’île de la Réunion. Ils furent autrefois en majorité, et ils n’existent plus qu’à travers le mépris des conquérants et l’obligation de faire le ramadan contraints et forcés.

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Philippe Randa,
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