27 février 2018

Les Monstres sont parmi nous

Par Gilles Falavigna

Le 5 février 2018, rapporte Associated Press, une adolescente succombait à une overdose. Pendant ce temps, son dealer la violait et prenait des photos qu’il envoyait à ses amis tout en commentant… « she died having sex with me, lol ». La traduction ne s’impose pas. Pourtant, ce fait divers aurait tout aussi bien pu se dérouler en France qu’aux États-Unis.

overdose

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Mais l’histoire ne s’arrête pas là. La jeune fille n’était pas encore morte. Lorsque la police demande au « jeune » pourquoi il n’a rien fait pour tenter de la sauver, il répond qu’il était trop fatigué pour l’emmener à l’hôpital. Il s’est endormi à côté d’elle.

Serait-ce le « sommeil du Juste » ? Car ça y ressemble. La racaille n’a pas de problème existentiel.

Au premier abord, nous sommes tentés d’évaluer, de mesurer. Est-ce un record dans le sordide ? Et un record est fait pour être battu. C’est, semble-t-il, un fantasme récurrent chez les tueurs en série. Les « jeunes » de nos banlieues tentent pour chaque jour de l’An de battre le record de voitures brûlées de l’année précédente.

Mais de notre côté, l’établissement de cette mesure considère un système dans lequel la morale serait universelle. Le système serait Un et ses lois communes pour régir des individus communs. C’est un principe égalitaire. Nous sommes tous différents par la mesure, mais tous égaux pour la permettre.

Pourrait-on imaginer une épreuve sportive, de l’athlétisme par exemple, qui oppose un homme à un animal ? Cela n’aurait aucun sens. C’est ainsi qu’en psycho-physique, la loi de Weber-Fechner établit un seuil de discrimination entre un fait et l’inférence au fait, son ressenti. « À toute chose égale », comme on dit !

La réalité est simple, mais notre système politique et social égalitariste nous empêche de la voir. Dans ce monde où un humain est un humain, la différence serait dans ce qui n’est pas visible. Les races n’existent pas et nous sommes toujours dans la loi de Weber-Fechner pour l’affirmer, c’est-à-dire dans un système global. Les différences seront le fruit de l’environnement culturel et d’on ne sait quel paramètre.

Mais nous sommes toujours dans le monde visible, le mesurable. La différence devient strictement individuelle. En final, le discriminant est d’ordre moral. Il a trait à la conscience, la conscience du Bien et du Mal. Au minimum, la conscience est une caractéristique humaine.

Alors voilà ce que notre monde égalitariste nous empêche de voir : il est des créatures vivant parmi nous qui ne sont pas des Humains. Et ils ne sont pas des extra-terrestres ! Et ce n’est pas une plaisanterie. Le formatage à l’égalitarisme et par la morale chrétienne veut nous imposer le contraire mais l’absence de conscience n’est pas d’ordre moral. S’endormir à côté de la jeune fille qu’il vient de violer et tuer parce que pris d’un coup de fatigue, est la plus parfaite expression de ce qu’est une absence de conscience. Dans l’exemple qui nous intéresse, il n’y a pas de circonstances aggravantes ou atténuantes. Ce serait admettre l’humanité de cet individu. Il est nécessaire d’aller plus loin dans l’identification.

La Bible est le contre-pied textuel de la morale chrétienne. Dans la Genèse, chaque animal prend place dans l’Arche de Noé par couple, mâle et femelle. La terminologie, en hébreu, est reprise en de multiples occasions. Une exception est notée dans un verset : « De toute créature vivante ». Rachi, le commentateur référence de la Torah, explique que cela signifie « même les démons ». Et là, le texte en hébreu les qualifie d’homme et de femme. Dans les traductions de la Bible, seul Chouraqui, réputé pour son travail de traduction du grec pensé en hébreu, relève ce verset 7-3 de la Genèse : « de toute bête non pure, deux, un homme et sa femme. »

Mais ce ne sont pas des animaux. La Bible se veut précise et la tradition rapporte un sens différent de ce que la morale chrétienne universaliste et égalitaire veut voir. Le sens biblique signifie qu’Adam et Ève ne sont pas les premiers humains sur Terre. Ils sont les premiers qui furent habités d’une âme. C’est le sens que nous devons retenir de l’abomination qui sera jugée humaine. C’est la nature humaine qui sera condamnée. Ce n’est qu’un fait divers parmi d’autres car les monstres sont parmi nous. Ces « non-humains » ne sont pas confinés dans les zones obscures de notre monde. Ils le dirigent. L’universalisme, l’égalitarisme, toute cette bonne morale est un moyen pour eux de maintenir leur suprématie. C’est le fond de la « géopolitique de la conspiration contre les peuples ».

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