17 octobre 2019

Vers quelle Aurore ?

Par admin

Le Pape Pie XI, dont la politique fut très contestable, avait eu cependant une vision funeste de l’avenir, ce qui lui avait fait déclarer : « Viendra le temps des crimes légitimés ; des crimes sans assassins, des effets sans cause ! »

Nous en sommes là.

L’officialisation du parjure par de Gaulle, et par les politiques qui se sont recommandés de lui, a ouvert la porte à l’infamie sans risques. L’attaque récente de la police par des mortiers, armes de guerre, a officialisé en quelque sorte le conflit. Et voici que le meurtre au couteau de quatre policiers oblige le régime à d’énormes contorsions, pour tenter d’expliquer que le meurtrier était fou, mais que sa détermination meurtrière n’avait rien à voir, avec sa conversion à l’Islam.

En effet, les gouvernements de la Ve République qui se sont succédés ont bien précisé, juré, craché que l’Islam n’était pas plus criminel que le catholicisme, et il se trouve que pour la première fois dans notre histoire, un Pape Romain a fortement appuyé, cette assurance.

Il est pratiquement interdit de suspecter que les djihadistes, qui faisaient rôtir leurs prisonniers pour la gloire d’Allah, aient eu quelque influence sur certains musulmans dont la république a fait des citoyens.

Monsieur Zemmour qui ose dire le contraire sera puni, car il n’est pas permis, suivant ce qu’en affirma Jacques Chirac, que le souci moral puisse l’emporter sur la loi républicaine. La thèse officielle, c’est que les criminels sont fous, mais que leur folie n’a rien à voir avec la déclaration de Khomeyni, décrétant que rien n’est plus louable que de se faire tuer et de tuer pour la gloire d’Allah !

Éric Zemmour.

Éric Zemmour.

Mais quand il faut expliquer comment ces musulmans « citoyennisés » deviennent des fous, le gouvernement macronien n’a pas encore trouvé quoi répondre ! En attendant, il manque à son devoir essentiel qui est de protéger les citoyens. En effet les moyens de se défendre sont interdits et un Français (de souche) sortirait-il un revolver pour abattre un agresseur qu’il serait immédiatement condamné pour meurtre avec arme prohibée !

La situation s’alourdit inexorablement. Cette année, si l’automne semble avoir eu raison des incendies, durant l’été on sait que quantité de départs de feu furent simultanés, ce qui suppose une véritable organisation criminelle. On n’a pas retrouvé les coupables et je ne sais pas si on les a cherchés ou s’il est encore possible dans certains milieux de pénétrer pour enquêter.

Et de même que l’on a vite « accidentalisé » l’incendie de Notre Dame à Paris, on ne trouve jamais les profanateurs des églises qui se multiplient dans l’indifférence de la République.

Il est toujours interdit de supposer un lien entre la multiplication des crimes, des viols et des vols avec l’augmentation des populations immigrées. Le terme même d’« invasion » serait interdit, si l’on ne se référait pas à Valéry Giscard d’Estaing qui l’employa.

Et si l’on s’est complu à louer Jacques Chirac de ne pas avoir envoyé nos troupes soutenir les agresseurs yankees contre l’Irak en 2003, on n’a pas donné les véritables raisons de ce refus qui n’avait rien de moral : c’est que l’armée n’était plus sûre ! En 1999, les marins musulmans du porte-avions Foch, s’étaient mutinés pour ne point frapper leurs « frères » du Kosovo !

En 1990, un rapport remis au ministre Jean-Pierre Chevènement notait que chez les « Beurs » engagés, on comptait 3,5 fois plus de désertions, 6 fois plus de refus d’obéissance, 6 fois plus d’outrages aux supérieurs et 8 fois plus d’insoumissions que chez les autres engagés.

Et rien ne serait fait pour endiguer cette tendance, puisqu’en 2009, les soldats musulmans refusèrent de combattre leurs frères d’Afghanistan !

Il fallut envoyer une unité de fusiliers marins pour les réduire ! Et la tendance ne fit que s’aggraver puisqu’en 2015, le Charles De Gaulle qui avait engagé 300 musulmans dans son personnel dut rentrer de toute urgence, ayant subi un certain nombre de sabotages !

On peut donc aujourd’hui présumer que si le ménage n’a pas été fait, des chambrées entières d’engagés occidentaux pourraient être égorgées, si quelque « Mahdi » en donnait l’ordre !

Mais plus que l’incapacité républicaine à prendre les mesures qui s’imposent, je suis véritablement effaré de l’initiative papale qui vient d’inaugurer au Vatican l’énorme groupe statuaire d’un ensemble de migrants, destiné à rappeler aux Catholiques le devoir d’accueil envers toujours plus de migrants !

Bien sûr, cette œuvre fastueuse a dû coûter fort cher, ce qui est déjà un scandale sur l’orientation des deniers du Culte. Mais plus encore, il participe au mensonge officiel, suivant lequel, les populations migrantes seraient composées de gens misérables et menacés !

Il est facile de constater sur tous les documents que des bateaux entiers sont porteurs de jeunes gens bien en chair, à l’exclusion presque totale de femmes et d’enfants, et que ces jeunes gens, pourvus de gilets de sauvetage dernier modèle, manipulent des iPhones, que quantité de jeunes Français ne pourraient se payer ! Il serait assez facile d’enquêter sur cette monstrueuse opération qui vise à désordonner nos nations occidentales, mais si nous exceptons quelques pays de l’Est et la Russie qui réagissent contre la manœuvre, quantité de nos dirigeants sont complices de l’invasion, et des conséquences sanglantes qui s’ensuivront.

Pour avoir fait la guerre aux avant-postes, j’en sais l’horreur, et parvenu à l’impuissance de l’âge, je n’aurais pas voulu voir mes petits-fils en courir le risque.

Aujourd’hui je commence à en concevoir non pas seulement la possibilité, mais la nécessité vitale pour tenter de sortir de la sujétion qui nous contraint.

Et ce n’est pas sans appréhension que je me répète la dernière réplique de Giraudoux dans Électre ou une femme interroge sur le sens du désastre : « Comment cela s’appelle-t-il quand le jour se lève comme aujourd’hui et que tout est gâché, que tout est saccagé, et que l’air pourtant se respire, et qu’on a tout perdu, et que la ville brûle, que les innocents s’entre-tuent, mais que les coupables agonisent dans un coin du jour qui se lève ? »

« Cela a un très beau nom femme. Cela s’appelle l’aurore… »

EuroLibertés : toujours mieux vous ré-informer … GRÂCE À VOUS !

Ne financez pas le système ! Financez EuroLibertés !

EuroLibertés ré-informe parce qu’EuroLibertés est un média qui ne dépend ni du Système, ni des banques, ni des lobbies et qui est dégagé de tout politiquement correct.

Fort d’une audience grandissante avec 60 000 visiteurs uniques par mois, EuroLibertés est un acteur incontournable de dissection des politiques européennes menées dans les États européens membres ou non de l’Union européenne.

Ne bénéficiant d’aucune subvention, à la différence des médias du système, et intégralement animé par des bénévoles, EuroLibertés a néanmoins un coût qui englobe les frais de création et d’administration du site, les mailings de promotion et enfin les déplacements indispensables pour la réalisation d’interviews.

EuroLibertés est un organe de presse d’intérêt général. Chaque don ouvre droit à une déduction fiscale à hauteur de 66 %. À titre d’exemple, un don de 100 euros offre une déduction fiscale de 66 euros. Ainsi, votre don ne vous coûte en réalité que 34 euros.

Philippe Randa,
Directeur d’EuroLibertés.

Quatre solutions pour nous soutenir :

1 : Faire un don par virement bancaire

Titulaire du compte (Account Owner) : EURO LIBERTES
Domiciliation : CIC FOUESNANT
IBAN (International Bank Account Number) :
FR76 3004 7140 6700 0202 0390 185
BIC (Bank Identifier Code) : CMCIFRPP

2 : Faire un don par paypal (paiement sécurisé SSL)

Sur le site EuroLibertés (www.eurolibertes.com), en cliquant, vous serez alors redirigé vers le site de paiement en ligne PayPal. Transaction 100 % sécurisée.
 

3 : Faire un don par chèque bancaire à l’ordre d’EuroLibertés

à retourner à : EuroLibertés
BP 400 35 – 94271 Le Kremlin-Bicêtre cedex – France

4 : Faire un don par carte bancaire

Pour cela, téléphonez à Marie-France Marceau au 06 77 60 24  99

Partager :