8 mars 2020

Naomi Seibt, une nouvelle « sorcière » à bien-aimer…

Par Philippe Randa

Ah ! les filles… Greta Thunberg ayant été propulsée sur le devant de la scène climato-apocalyptique, les climatosceptiques – ceux qui doutent de la réalité de l’impact humain sur les humeurs du climat – répliquent à leur tour avec leur propre championne : Naomi Seibt, une blonde allemande de 19 printemps.

Naomi Seibt

Naomi Seibt

Youtubeuse, elle vient d’être recrutée par le Heartland Institute, un think tank américain aux positions nettement politiquement incorrectes : « Naomi Seibt travaillera sur la communication d’un message réaliste sur le changement climatique à sa génération en Europe et aux États-Unis ; cette génération a pataugé dans le catastrophisme stérile toute sa vie. »

On se doute que les médias mainstreams ne l’apprécient guère, comme en témoigne un assez fielleux article du Monde qui fait remarquer qu’« qu’avant de figurer dans la presse mondiale, la jeune femme était globalement inconnue du grand public, même en Allemagne. Avec 58 000 abonnés, et moins de 100 000 vues sur la plupart de ses vidéos, sa chaîne YouTube est loin d’être un succès d’audience. »

Voire… car la lutte contre les talibans de la pensée unique sur le réchauffement climatique n’est pas son seul cheval de bataille : Naomi Seibt défend avec conviction la liberté d’expression, craignant que son pays ne replonge tôt ou tard dans la « dictature communiste » ; elle s’en prend également aux méfaits de l’immigration, assume sa fierté d’être allemande et assure qu’on peut être « forte sans être féministe »… De quoi largement la faire vouer aux gémonies de la bien-pensance, mais, autre crime impardonnable s’il en est ! elle ne se gêne pas non plus pour dénoncer avec virulence les manipulations des médias « accusés de tromper volontairement le grand public. »

« Naomi Seibt, comme un double maléfique de Greta Thunberg », la brocarde donc FranceInfo. Une sorcière, quoi !… Oui, mais qu’on ne peut tout de même s’empêcher d’aimer… et même de « bien-aimer », non ?

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