1 avril 2016

La Loi de 1905 envisagée comme arme anti-islam

Par Bernard Plouvier

Toute statistique issue de notre si politisée Administration doit être reçue, scrutée, étudiée avec beaucoup de prudence, puisque nos honnêtes gouvernants truquent sans vergogne chiffres et pourcentages en matière de criminalité, de délinquance, de croissance et d’emploi.

Il est toutefois une statistique que l’on aimerait pouvoir considérer comme étant juste et fiable : celle des candidats en partance vers la Syrie et autres lieux idylliques pour fous et folles d’Allah, stupidement arrêtés par les polices et douanes européennes, à la demande des familles. En deux années, sur environ 750 individus ainsi obligés à rester ou à revenir en France, les deux tiers sont des femmes… et presque tous sont majeur(e)s. Ceci pose un certain nombre de questions.

D’abord, de quel droit interdit-on à des individus majeurs d’aller où bon leur semble ? Au nom de la prévention des attentats djihadistes nous répond-on ! À voir le résultat, le jeu n’en vaut pas la chandelle. Les djihadistes frappent où et quand ils le veulent. C’est à la racine du mal qu’il faut agir : arrêter, expulser les imams, oulémas, mollahs qui prêchent la violence tous les vendredis soirs dans leur mosquée… et les prévenir charitablement qu’ils sont assurés d’être discrètement exécutés en cas de retour en France.

Les motivations des donzelles interrogées par des psychologues avant d’être réexpédiées dans leur famille seraient angéliques. Selon ce joli conte des Mille et Une Nuits, elles voudraient vivre selon la Charî’a (pourquoi ne pas mettre Charia ?) et porter voile ou burqa à leur guise, trouver un pieux muslim (en français on parlera plutôt de musulman) pour époux (autrement dit n’être que l’une des quatre servantes de son seigneur et maître), et bien sûr – sortez les violons – s’occuper des orphelins et des vieillards abandonnés en zone de guerre ! Rien n’autorise les autorités françaises à empêcher ces « mères Theresa » (qui fut, elle aussi, voilée) d’accomplir ces nobles tâches en terres d’islam et d’y devenir fécondes (mais elles doivent être automatiquement déchues de la nationalité française).

Seul un imbécile (étymologiquement, un faible d’esprit) peut être dupe de ces superbes déclarations altruistes, d’autant moins que les femmes voilées sont omniprésentes dans toutes les rues des grandes villes de France et d’Europe de l’Ouest, même dans les hôpitaux, sur les bancs des facultés, voire dans certaines écoles, où les proviseurs n’osent plus faire appliquer la loi française de 1905… quant aux candidats époux musulmans, la France – comme toute l’Europe occidentale, scandinave et danubienne – en regorge, hélas !

On sait fort bien que mâles et femelles se hasardant vers la Syrie, l’Irak, la Libye, le Yémen, etc. y vont pour apprendre à tuer qui du chiite ou du sunnite (il paraît que l’islam est une religion d’amour, mais pas pour les hérétiques), qui de l’infidèle, lors d’un retour en Europe. Et c’est là que se pose une nouvelle question : quels sont les abrutis pitoyables, quels sont les traîtres à leur race et à leur continent qui autorisent ces « touristes » d’un genre plus que spécial à revenir en Europe ? Il faut poser en principe que tout musulman quittant l’Europe pour une terre de Charî’a doit être à la fois déchu de la nationalité européenne (quelle qu’en soit la variété) et interdit définitivement de retour.

Contrairement à ce que font nos gouvernants, à Paris ou à Bruxelles, il ne faut en aucun cas interdire le départ aux candidats djihadistes. Il faut impérativement leur interdire le retour (ou les éliminer discrètement en cas de rentrée réussie, nos frontières étant des passoires). C’est à cela que doivent servir nos services de renseignements, plutôt lamentables jusqu’à présent en matière de lutte contre l’islam conquérant, faute d’une ferme direction politique.

Enfin, s’il existe réellement des candidates musulmanes à l’émigration vers le paradis terrestre de la Charî’a, il ne faut en aucun cas brimer ces martyres de la foi. La Loi de 1905, exigeant une stricte laïcité de l’État, ne peut en aucun cas être un frein à ce retour vers les « racines », les origines, le « berceau de la vraie foi », etc. La laïcité – qui n’empêche nullement certains honorables élus, quémandeurs de suffrages électoraux, de financer l’édification de mosquées avec de l’argent ou des terrains communaux – peut devenir, si elle est appliquée avec force et rigueur, un excellent agent de ré-émigration et de décroissance de la natalité non-autochtone en Europe… car tout ce qui est écrit à propos de la France, terre d’élection de l’islam conquérant depuis la Loi de regroupement familial de 1976, est valable pour l’ensemble de notre continent.

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