14 janvier 2019

Quand la science médicale vole au secours de la science politique

Par Jean-Pierre Brun

Dès le 15 mai 2017, certains politologues attentifs, inquiets faut-il le préciser, avaient cru déceler chez le président nouvellement élu, une certaine difficulté à se situer dans l’espace et à distinguer sa droite de sa gauche.

Le Roi des fous par Louis Boulanger et W. Finden, 1878.

Le Roi des fous par Louis Boulanger et W. Finden, 1878.

Déjà, quelques mois plus tôt, victime d’un vertige inexplicable, n’avait-il pas confondu le siège monarchique et le trône présidentiel dans une envolée, douteuse pour beaucoup d’observateurs : « Dans le processus démocratique et dans son fonctionnement il y a un absent. Et dans la politique française, cet absent est la figure du roi. »

Des chroniqueurs d’une presse insoumise, à la plume aussi vicieuse qu’une langue de vipère, avaient laissé entendre que, douillettement transporté depuis des années par une épouse omniprésente sinon omnipotente, il éprouvait logiquement quelque difficulté à maîtriser l’attelage du char de l’État dont il prenait les rênes, sans la moindre expérience dans le domaine particulièrement périlleux du pilotage à vue.

Outré par les écarts de conduite de son ancien challenger, Jean-Luc Mélenchon se lamentait devant l’aile droite enfoncée de sa toute récente bétaillère. Qui plus est, tout constat amiable s’avérait impossible.

Chez les Républicains, c’était non seulement leur susceptibilité qui était froissée, mais leur portière gauche par laquelle venaient de s’enfuir les enfants d’Edouard ravis d’aller batifoler dans les jardins de l’Hôtel Matignon.

Sollicités par quelques gérontologues du Sénat, des professeurs émérites n’avaient pas tardé à avancer l’hypothèse d’une défaillance de la fonction cérébrale visuospatiale chez cet individu apparemment incontrôlable.

Il paraît, selon un adage aujourd’hui oublié, que le Bon Dieu ne frappe jamais des deux mains et pourtant…

Les dernières semaines ont révélé chez le président une autre anomalie de son système visuel. Elle se manifeste par une totale absence de la perception des couleurs. Impossible pour lui de distinguer par exemple un gilet jaune d’un stylo rouge, le bleu casbah du bleu gendarme, le tricolore d’un drapeau français de celui d’un bundesflagge (drapeau de l’Allemagne), l’irisation d’une banderole de la LGBT de l’arc-en-ciel du maillot d’un champion du monde de cyclisme.

Qu’adviendra-t-il devant un feu de croisement se dressant soudainement devant lui, sur les voies incertaines du Pouvoir ?

Aux dernières nouvelles, la Faculté travaillerait sur les origines de ce mal insidieux. Il pourrait être classé à court terme dans la catégorie des maladies professionnelles sous l’appellation de Macromatopsie.

On peut aisément en imaginer les conséquences invalidantes sur l’avenir du malade : « La sortie ? C’est la porte verte, suivez la flèche rouge… Oubliez l’escalier à votre gauche… c’est tout de suite à droite… »

Et plouf !

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