6 janvier 2020

Les Français vont-ils être capables de se supporter ?

Par Bernard Plouvier

Dans la Rome antique, après chaque époque de guerre civile, on décrétait une Indulgentia perfecta. Non pas cette « indulgence plénière », cette « absolution » laxiste de ceux qui ont ensuite dominé l’Urbs, prenant (fort mal) le relais des grands républicains, puis des empereurs les plus efficaces, mais l’amnistie pour tous les délits et une peine modérée pour les crimes politiques d’une époque terminée (per-fecta : une fois les faits révolus). En France, on ignore manifestement la chose !

Grand Président Macron y va de sa ritournelle sur les « crimes de la colonisation » pour mieux asseoir l’exploitation des richesses du sol et du sous-sol africain par diverses sociétés multinationales, peut-être celles qui envisagent d’un bon œil de subvenir à certains besoins lors des prochaines campagnes présidentielles.

Et certes, Grand Président Macron a des excuses à faire… mais aux contribuables français des siècles passés, pour le détournement de milliards d’unités de compte prélevées sur le produit des impôts et des taxes, soit ce qu’il en a coûté pour abolir les guerres tribales en Afrique, en Asie et en Océanie, pour sortir de la préhistoire l’Afrique équatoriale, et pour dynamiser un Maghreb médiéval, assoupi sur son coran.

Des excuses sont également nécessaires aux Français contemporains – nous ! – pour leur avoir imposé, sans référendum, une immigration de masse d’origine extra-européenne, strictement inutile, sauf pour relancer une grande distribution mise à mal par le sens de l’économie de la nation française, une immigration où la part des voyous et des émeutiers semble à la fois plus élevée et plus coûteuse que la part des honnêtes pères de famille.

immigration

D’un autre côté, décennie après décennie, on veut nous culpabiliser pour une Shoah dont ni Charles de Gaulle ni François Mitterrand (il en faut pour tous les goûts) ne jugeaient coupable la nation française. De fait, il y a belle lurette que les rares antijudaïques meurtriers de France ont été exécutés ou sont morts en exil. Cela n’empêche pas certains excités et insatiables de réclamer, année après année, davantage de dédommagements, commémorations, instituts de déploration, etc.

De Gaulle a dit en décembre 1969 : « Quant aux Français de demain, je ne vois pas pourquoi ils auraient honte du passé de la France et le renieraient en quoi que ce soit. »

De Mitterrand, on peut à bon droit ne retenir que ce qu’il a dit en 1994 : « La France n’a pas d’excuse à donner pour ce qu’a fait l’État de Vichy… C’est une demande excessive de gens qui ne sentent pas profondément ce qu’est l’honneur d’être Français… C’est l’entretien de la haine et ce n’est pas la haine qui doit gouverner le France. »

Aucun État, aucune Nation ne sont exempts de fautes et de crimes, c’est la seule leçon universelle de l’histoire. Mais pour aller de l’avant, pour demeurer une Nation, il faut savoir réconcilier tous les membres de cette nation. Reconnaître les fautes est utile pour ne pas les reproduire. Mais le rabâchage masochiste n’est que perversion.

Et c’est chose parfaitement intolérable quand les marchands du temple, qui ont intérêt à ressasser encore et encore les errements du passé, tirent un bénéfice de nos divisions. Face à l’avenir et à la montée des périls, les Français de souche européenne doivent s’UNIR.

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