12 janvier 2017

Sachons reconnaître un socialiste

Par Joël Zaremba

Alors que l’on croise moins fréquemment le socialiste sur les trottoirs par ces temps de fin de règne, car il est honteux et se cache, il est devenu nécessaire de le reconnaître avec un œil exercé lorsqu’il apparaît. Vous êtes nombreux, amis lecteurs, avides de ré-information à me demander comment.

Aussi, je vous livre avec l’honneur qui vous est dû, sept astuces infaillibles.

  • Le socialiste est prudent ; il ne va pas à l’église, mais consent à une petite bénédiction à la fin de sa vie.
  • Le socialiste est économe ; il ne se déplace qu’en voiture de service (conseil régional ou départemental, véhicule de mairie, de pôle emploi ou de la poste) sinon, c’est en Vélib’.
  • Le socialiste est de bon conseil ; il vous demande d’héberger les migrants, mais n’en veut pas dans son appartement du IVe arrondissement à Paris.
  • Le socialiste a mauvais goût ; il a élu Hollande.
  • Le socialiste n’est pas fasciste ; car iI pense que c’est nous, les fascistes, si on ne pense pas comme lui.
  • Le socialiste n’est pas poli ; il devrait demander pardon d’avoir élu Hollande.
  • Le socialiste est fidèle ; il continue à voter socialiste.

Maintenant vous saurez reconnaître d’un seul coup d’œil celui qui se cache derrière le masque de l’hypocrisie et de la béatitude.

Étonnant non ?

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