11 juin 2019

Les profiteurs de la panique climatique

Par Euro Libertes

Alors que la radio romande, par l’intermédiaire de l’un de ses rédacteurs ultra-gauchistes, se permet d’injurier ceux qui ne croient pas à la religion du « climat » en les traitant de « négationnistes » (vendredi matin), la Weltwoche fait honneur à la diversité d’opinion, malheureusement disparue dans notre « service public », en donnant la parole à un professeur de l’École polytechnique fédérale de Zurich, qui défend la thèse qu’une réduction des émissions de gaz carbonique en Suisse pourrait fortement contribuer au sauvetage de la planète.

Roger Köppel, dans son éditorial, s’étonne de cette fixation sur le CO2, alors que d’autres gaz présents dans l’atmosphère influencent plus fortement la température. Il rappelle que de nombreux politiciens partisans de mesures anti-gaz carbonique ont des intérêts dans la juteuse industrie du « climat », notamment le socialiste Roger Nordmann (association Swissolar), le libéral-radical Peter Schilliger (entreprises de conseil en rénovation de bâtiments)  et le Vert Jürg Grossen (Swisscleantech), sans parler des toujours plus nombreux « climatologues », qui abusent de leurs positions universitaires pour se livrer à de l’activisme politique et aller à la chasse aux subventions (cliquez ici).

Panique climatique

Le dévoiement du changement climatique et ses profiteurs par Roger Köppel

Personne ne conteste que le climat change depuis des millions d’années. L’humanité s’est toujours adaptée à ces changements, certaines sociétés s’en sont mieux sorties que d’autres.
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