28 juin 2017

Climat : Au-delà du tollé !

Par Euro Libertes

par Felix D. Sbirov.

Dans la foulée de la sage décision de l’administration trump de se retirer de la calamiteuse & coûteuse COP21 & derrière l’onanisme des Khmers verts & la doxa pseudo-scientifique du GIEC, qu’en est-il réellement de l’environnement ? Petit rappel à l’ordre de Jean Cuny sur le sujet.

Le retrait des États-Unis de l‘Accord de Paris sur le climat a suscité un tollé dans la classe politique française qui une fois de plus fait preuve de sa grande hypocrisie. Le fameux accord sur le climat n’est qu’une déclaration d’intentions ne comportant aucun engagement juridique effectif.

Selon l’article 2, le réchauffement climatique devra être contenu « bien en deçà de 2°C » par rapport à l’ère préindustrielle. Pour atteindre cet objectif, les émissions de gaz à effet de serre devront atteindre « un pic aussi rapidement que possible ». Tous les cinq ans, un bilan sera effectué.

Le dogme de base est que le « réchauffement climatique » est d’origine humaine.

Et de pointer du doigt les émissions de carbone dues à l’automobile, à l’industrie et à la production d’électricité. Curieusement on ne se préoccupe pas de celles des avions(1) et des navires.

En 2005, l‘Union Européenne a mis en place un marché du carbone qui a été un échec car les prix des quotas est tombé à moins de 10 euros. Toutefois, une escroquerie à grande échelle portant sur 5 à 10 milliards d’euros a été mise en place entre l’UE et Israël.

En 2007, la France a aussi mis en œuvre le système du bonus-malus qui lui permet de taxer une fois de plus les automobilistes.

Mais le réchauffement ?

Il y a réchauffement, mais il s’inscrit dans les cycles naturels de notre planète. Les températures moyennes actuelles sont inférieures à ce qu’elles étaient durant le POM (Petit Optimum Médiéval), il y a même des indices qui montrent qu’elles étaient supérieures au Ier, IIe siècles de notre ère : La Chapelle en Valgaudemar était une station sur la voie romaine allant de Briançon à Mens, la voie passait par le col de Bonvoisin aujourd’hui recouvert par un… glacier.

On nous parle beaucoup du réchauffement de l’Arctique, mais le niveau de température dans les années 1940 était analogue à celui de la période actuelle : en août 1940, le navire corsaire allemand Komet, guidé par des navires soviétiques(2) (effet du Pacte germano-soviétique), est ainsi passé par le nord de la Sibérie pour rejoindre le Japon et s’attaquer aux intérêts britanniques dans le Pacifique.

Un ouvrage de navigation allemand des années 1940 montre des cartes de cette zone pour les années 1937, 1938,1939 qui montrent bien l’absence de glace l’été dans cette zone.

Lorsque les menteurs du crime organisé écologique se mordent la queue…

Notes

(1) Normal ! Comment Hulot et ses petits camarades feraient-ils pour aller manifester de par le vaste monde…
(2) Le Komet (HSK 7) est un croiseur auxiliaire de la Kriegsmarine utilisé comme navire corsaire au cours de 2ème Guerre mondiale. Construit sous le nom d’Ems en 1937 en tant que cargo, il a été réquisitionné par la marine de guerre allemande et transformé en croiseur auxiliaire sous le nom de Komet ou Schiff 45. Son nom de code à la Royal Navy était Raider B.  Sous le commandement du Kapitän zur See Robert Eyssen le croiseur partit pour sa première campagne d’opérations de Gotenhafen le 3 juillet 1940. Avec l’accord de l‘Union soviétique, le Komet traversa l’océan Arctique avec l’assistance du brise-glace Joseph Staline et entra dans l’océan Pacifique.

Article paru sur le site VoxNr.

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