16 mars 2017
Qu’on le veuille ou non, nous sommes en période préélectorale. De ce fait, moins de dix jours après la nouvelle tuerie islamique, celle de Nice, une obscure « secrétairesse » d’État annonce le déblocage imminent des fonds pour indemniser les victimes du dernier attentat. Et cela pose deux séries de questions.
Depuis la fin de l’année 2015, si riche en assassinats perpétrés, sur le sol français, par des musulmans à l’encontre de citoyens français, le gouvernement algérien, par son ministre des Affaires religieuses, réclame la pleine souveraineté sur la grande mosquée de Paris qu’il subventionne puissamment.