Étiquette : Raymond Aron

28 juillet 2023

Comment l’ultra-droite continue de jeter de l’huile sur l‘immigration

Comment peuvent encore circuler des textes qui sont autant d’atteintes à l’ordre républicain et aux droits de l’homme. Le Duce de Colombey n’est pas le moins cité : « C’est une fiction de considérer ces gens-là comme des Français pareils aux autres. Il s’agit en réalité d’une masse étrangère. Il conviendra d’examiner les conditions de leur présence sur notre sol. » Cette confidence faite à Alain Peyrefitte est […]

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11 mai 2019

Jacques Bainville, la politique au fil de l’histoire (II)

Or, n’entend-on pas, ici où là, notamment à gauche, des propos aigre-doux qui rappellent l’époque de la Revanche ? S’il faut craindre de raviver une germanophobie anachronique, encore doit-on également se garder d’une germanophilie subite, passionnelle et donc nécessairement évanescente.

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10 mai 2019

Jacques Bainville ou l’histoire au fil de la politique (I)

Parce que nous sommes gouvernés par des incultes et des inconséquents, il n’est peut-être pas inutile de relire et méditer Jacques Bainville, ce voltairien qui se targuait de « penser historiquement » la politique. Bainville a cette particularité, commune à quelques intellectuels brillants, de s’être fait tout seul ou presque. Nullement historien, il excellera dans cette discipline. Aucunement diplomate, il contribuera pourtant à faire naître la géopolitique […]

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31 décembre 2018

Le « Carl Schmitt » de Robert Steuckers

Sur et autour de Carl Schmitt (Éd. du Lore, cliquez ici)s’offre à lire comme un essai très personnel sur la pensée du juriste de Plettenberg. Son auteur, Robert Steuckers nous a habitués, notamment avec sa Révolution conservatrice et, dernièrement, avec son Europa[1], aux longues digressions discursives sur des thèmes qui lui tiennent à cœur. Dont acte.

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21 mai 2018

La soumission des insoumis

Lorsque le talent se met au service de l’immonde, il ouvre des horizons mystérieux sur la puissance du mal. Léon Blum, paraît-il, avait des accents incantatoires, quand il s’agissait pour lui, en 1936, de désarmer la France et de détruire la famille.

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