Étiquette : Louis-Ferdinand Céline

3 janvier 2017

Céline et la pub

Revenons au génie Céline, qui avec ire dépeint le monde de la pub : « Les grands lupanars d’arts modernes, les immenses clans hollywoodiens, toutes les sous-galères de l’art robot, ne manqueront jamais de ces saltimbanques dépravés… Le recrutement est infini. Le lecteur moyen, l’amateur rafignolesque, le snob cocktailien, le public enfin, la horde abjecte cinéphage, les abrutis-radios, les fanatiques envedettés, cet international prodigieux, glapissant, grouillement de […]

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19 décembre 2016

De la nullité de Fillon et de ses mesures

  On laisse à Nicolas Boileau la responsabilité de ses édifiants propos en faveur de François Fillon (sur EuroLibertés le 27 novembre 2016). On pense ce qu’on veut du néo-FN (c’était quoi l’ancien FN ? Le point de détail et la nostalgie de la milice ?), mais le néo-FN ne se soumet pas à Castries et aux Bilderbergs. Le néo-FN ne menace pas le risque bénin en médecine […]

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28 septembre 2016

Louis-Ferdinand Céline et les veaux du Général

De Gaulle aurait dit des Français qu’ils sont des veaux… Et s’il avait emprunté à Céline cette expression, comme Hergé emprunta les injures du capitaine Haddock ? On va voir… Sur le blog Zerohedge, certains naïfs nous font le coup du printemps des peuples. En réalité il n’y a rien, sauf en Amérique, ce pays que nous avons trop sous-estimé. Merkel caracole encore dans les sondages, […]

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25 août 2016

De la programmation des Français par les attentats

La France républicaine fait mine de s’initier à la « culture » du terrorisme. Le gouvernement de la Terreur était pourtant composé de « terroristes » (relisez un bon dictionnaire, celui d’Oxford). Les socialistes gouvernent par la terreur, comme les ancêtres jacobins.

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13 juin 2016

Louis-Ferdinand Céline et le christianisme

Le justement encensé pape François redonne au christianisme ses lettres de noblesse : à savoir que c’est une religion de pauvres et pour les pauvres, même si Jésus a dit un jour : « Vous avez toujours les pauvres avec vous, mais moi, vous ne m’avez pas toujours. »

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