En cette fin d’été, après avoir traité les Bretons de Maffiosi, notre génialissime Président-Dictateur-Général s’en prend aux Gaulois, qu’il juge irréductiblement opposés à ses merveilleuses réformes. Analysons la chose ! Grand Timonier et sa Dame ont inauguré l’été, au Palais de l’Élysée, en transformant la Fête de la musique en gay-pride africaine. Libre à eux d’afficher leurs goûts. Mais certains Gaulois auraient peut-être vu avec plaisir […]
Pas plus que son cousin et prédécesseur Charles VIII, Louis XII ne semblait avoir la moindre notion des fameuses et mythiques « frontières naturelles » de la France. Il n’avait pas l’air de se rendre compte que les Alpes pourraient en être une (qu’en effet elles n’avaient été ni pour les Gaulois, ni pour les Romains, ni pour Charlemagne, ni pour personne).
Propos recueillis par Guirec Sèvres, publiés sur le site Synthèse nationale. Philippe Randa est écrivain, éditeur et chroniqueur politique, directeur du site de la réinformation européenne EuroLibertés ; il vient de publier Une démocratie hors de prix (éditions Dualpha, préface d’Aristide Leucate, 172 pages, 23 euros).
Ce qui est intéressant, chez les historiens du XIXe siècle, c’est qu’ils oublient que l’historien regarde vers l’arrière. Mais ceux qui vivent l’histoire, si l’on ose employer cette expression pompeuse, c’est-à-dire ceux qui vivent, regardent vers l’avant. Ils ne savent pas ce qui va se passer après. L’homme de Cro-Magnon ne savait pas qu’il allait devenir gaulois, ni les Gaulois qu’ils allaient devenir romains, ni les […]
Sous prétexte de faire de Vercingétorix le premier héros d’une France qui n’existait pas, on a raconté son histoire n’importe comment. Lisons par exemple le Tour de France par deux enfants, de G. Bruno : « Au jour désigné d’avance, toute la Gaule se souleva d’un seul coup ». Toute, pas vraiment. Et souvent sous la contrainte : Vercingétorix a pris des otages (promis à une mort affreuse) pour […]
Les programmes de précampagne des postulants à l’élection présidentielle offrent parfois quelques surprises. Il en est ainsi pour celui de Bruno Le Maire. Cet énarque distingué préconise ni plus ni moins que la suppression de la prestigieuse école qui l’a formé sinon formaté. « Chiche ! » s’écrient de nombreux malveillants.