Cette « île crocodile », surnommée ainsi en raison de sa forme géographique, et de l’élevage que l’on y fait de ce « charmant » animal – peut-être aussi une allusion aux vieux caciques du Parti communiste qui tirent les ficelles en coulisse – est entre les mains des kleptocrates du clan Castro depuis 1959 et sa révolution de la Saint Sylvestre.
En 1954, encore dans l’antichambre du succès, Jacques Brel imagine le Diable effectuant pour ce bas monde, ce que nos technocrates appelleront bientôt un audit. Rassuré sur la bonne tenue de son portefeuille de mauvaises actions et le respect des obligations de ses débiteurs, le prince des Ténèbres, après avoir vérifié ses réserves de vices réparties en six caves, regagne l’Enfer pour partager avec les […]