par Mylène Troszczynski, député européen du groupe ENL La victoire de Donald Trump est la victoire du peuple et de la raison sur les élites mondialistes. Des limites aux flux migratoires et aux délocalisations redeviennent possibles. Contrairement aux portraits dressés par les médias dominants, Trump, comme tous les populistes, a des idées. Un article du professeur Joshua Mitchell de l’université de Georgetown le démontrait.
C’était sûr qu’Hilary Clinton allait être élue. On s’en réjouissait à l’avance. On ressortait les people, chanteurs, et acteurs orduriers comme Robert de Niro, pour vilipender l’horreur Trump, la catastrophe impossible, la « vulgarité » incarnée comme l’a si bien décrit avec tact, élégance et sens de la diplomatie, notre Président François Hollande, pâle copie du susnommé de Niro.
Ferenc Almássy a réalisé un entretien à Stockholm avec Rolandas Paksas, député européen, ancien président et ancien premier ministre de Lituanie, et ancien maire de Vilnius. Le politicien national-libéral controversé a accepté de répondre à quelques questions pour le Visegrád Post le 4 novembre 2016,alors qu’il participait à un congrès de l’ADDE à Stockholm.
Si nos regards restent focalisés sur l’Europe, son Brexit, ses réfugiés et son terrorisme, le monde ne s’arrête pas à notre porte et il conviendrait d’être aussi un peu attentif aux bouleversements géostratégiques en cours du côté de l’Asie où les Chinois poussent leurs pions en mer de Chine, dans des jeux ambigus avec la Corée du Nord. Taiwan s’inquiète et monte des structures étranges, […]
Inutile de gloser plus longtemps sur la personnalité de Donald Trump, tant il est un fait avéré que sa flamboyante vulgarité n’en a jamais fait l’homme le mieux placé pour ouvrir une école de maintien. Plus intéressant est le phénomène Trump et le dénouement, pour lui heureux, d’une campagne électorale hors normes.