Tant que la France n’est pas encore sous le régime de la Charî’a, l’on peut répéter le proverbe : « Dans le cochon, tout est bon ». Pour le candidat Macron, il n’est aucun artifice de propagande, aucune bassesse, aucune impudence morale qui soit inadapté : pour sa campagne, tout est bon. Il avait commencé, avant même d’être candidat, par annexer Jeanne d’Arc – pourtant fort nationaliste, alors que […]
Que Madame Le Pen arrive, comme son père avant elle, au 2e tour d’une Présidentielle, voilà qui conforte toutes celles et tous ceux, depuis le début de l’ère globalo-mondialiste – inaugurée en 1976, pour le cas français, par la loi Giscard-Chirac de regroupement familial des immigrés –, qui souhaitent un retour de la France aux Français, au sein d’une Europe n’appartenant qu’aux Européens de souche.
Depuis quelques jours, il est de bon ton d’ironiser sur la virée dans une brasserie chic (et aux prix coquins) du candidat Macron, après son premier triomphe. De la même façon, l’on a reproché au candidat Fillon ses costumes hors de prix et l’on avait, en son temps, moqué les aspects « bling-bling » du Président Sarkozy ou la sexualité débridée d’un Chirac, émule sur ce point […]
Les dés en sont jetés et Mignon-Macron triomphe sur toute la ligne. La première place du podium lui revient, accompagnée d’une foule de désistements. Tous les féaux lécheurs de bottes du grand capital se précipitent pour lui apporter aide et soutien : la droite affairiste comme la gauche caviar, en attendant le millionnaire en euros qui a joué au stalinien de banlieue.