25 avril 2018

De curieux jeux d’eau obscènes, dérangeants et coûteux

Par Bruno Philippon

Plus on ouvre les vannes du laxisme à certains, plus on ferme le robinet de la liberté d’expression à d’autres, c’est inversement proportionnel !

Plus il y a à dire, moins on vous laisse le dire, et tranquillement, sous nos yeux ébahis, dans sa logique toute puissante, le monde d’Orwell s’organise chaque jour davantage.

L'été dernier, en quatre semaines, 600 000 mètres cubes d'eau ont ainsi été dispersés en Ile-de-France, soit l'équivalent de 240 piscines olympiques.

L’été dernier, en quatre semaines, 600 000 mètres cubes d’eau ont ainsi été dispersés en Ile-de-France, soit l’équivalent de 240 piscines olympiques.

Mais, si vous êtes un… ou une habitué (e) des lieux, vous l’avez compris depuis longtemps déjà.

Beaucoup l’ont compris, mais… certains plus que d’autres en font les frais. C’est le cas d’Ulysse… Ulysse vous ne le savez peut-être pas, mais c’est une personne qui, dans le civil, est professeur de philosophie et qui, par ailleurs, s’exprime régulièrement sur Twitter et Facebook avec beaucoup de brio.

Notre ami Ulysse donc, victime de sa lucidité et de son talent, choses insupportables pour les censeurs et autres défenseurs de la pensée unique, a vu pour la énième fois il y a quelque temps, son compte Twitter suspendu… nous reviendra-t-il ?… Personne ne peut le dire aujourd’hui !

En attendant son retour, et puisque j’en ai la possibilité, je vais ici lui redonner la parole sur un dernier sujet qu’il avait abordé juste avant son éviction, et qui agace un tantinet le citoyen et contribuable que je suis, à savoir le vandalisme…

Un vandalisme particulier, saisonnier qui, à l’instar des voitures qu’on brûle à chaque fin d’année, risque, je le crains, de devenir un rituel.

Voici donc le texte d’Ulysse dans son intégralité, il s’intitule « De bien curieux jeux d’eau. »

Images simples, triviales, évidentes : un peu partout en France, des « immigrés » détruisent méthodiquement des bornes à incendie pour en faire jaillir l’eau et se livrer ainsi à des ablutions publiques, obscènes, dérangeantes et coûteuses.

Au même moment, en Italie leurs cousins se baignent dans les fontaines historiques de Colle Oppio ou y viennent laver leurs vêtements. Ce qui relevait de l’anecdote délicieusement scandaleuse dans un film de Hitchcock se révèle un révoltant cauchemar, Mamadou et sa joyeuse famille remplaçant la malheureuse Tipi Hedren.

Même scène à Athènes où bientôt le Parthénon pourrait servir, qui sait ! à loger des migrants ou bien à leur servir de cantine halal ! Après tout, la xénolatrie est bien une forme de culte et ces barbares débrayés sont nos nouveaux dieux sans noms.

Ces faits, minuscules, dérisoires sans doute, disent cependant l’essentiel : combien ces colonisateurs africains aux allures de bonimenteurs agressifs n’ont que faire d’un bien commun qu’ils méprisent et que nos élites corrompues font semblant de leur proposer par altruisme.

Ces gens s’en lavent les mains de gaspiller ce que des trésors d’ingéniosité ont permis de construire, de thésauriser au fil des siècles, d’accumuler par de lents et patients efforts… Ils se lavent les mains d’un héritage qu’ils ne conçoivent que comme l’occasion excitante d’exercer leur libido dominandi et de déployer par provocation leur frivolité.

Ils voient, ils prennent, ils ont chaud, ils ouvrent les vannes, tout le monde peut les voir, pas de problème, ils crient, ils gueulent, ils emmerdent tout le monde : pourquoi ne le feraient-ils donc pas puisque personne ne les arrête !

On les voit dans nos cités goguenards danser à moitié nus sous les retombées jaculantes de ces geysers urbains qui sont l’image exacte de leur propre jouissance à tout saccager, indifférents aux dégâts qu’ils pourraient causer, aux sensibilités qu’ils pourraient heurter, aux incendies dont ils pourraient compromettre l’extinction. Toute autre époque que la nôtre aurait eu le bon sens de condamner là un comportement de sauvages, c’est-à-dire de types qui ne se servent des moyens de la civilisation que pour mieux la foutre en l’air, des sauvages tout juste capables de ramasser des légumes et méritant manu militari l’expulsion d’urgence au beau pays de la harissa. Mais, c’est que reconnaître la sauvagerie implique d’être civilisés, et cette eau qui s’élève sous l’ordre du caprice injuste est l’accusatrice véridique de nos hésitations.

Aucune colonisation dans l’histoire humaine n’aura été si ridicule. Je pense qu’au fond c’est là son trait le plus remarquable d’un point de vue phénoménologique, des bandes même pas nombreuses de malpropres indolents font plier le continent de Périclès, de Charlemagne, et d’Otton Ier. Si l’on a toujours les conquistadors que l’on mérite, alors un sévère examen de conscience s’impose, ceux-là qui prennent leur douche sous nos yeux, un crachat les anéantirait… Comment se fait-il qu’ils soient notre déluge ?

Cette chronique a été diffusée sur Radio Libertés.

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