11 avril 2018

Camionnette suicide de Münster

Par Euro Libertes

Écartant d’emblée (comme à leur habitude) la piste islamo-terroriste, s’empressant d’évoquer de prétendus « liens entre le conducteur et l’extrême droite », les médias n’auront pas manqué de communiquer au maximum sur la sanglante attaque à la camionnette perpétrée samedi à Münster. Une affaire dont l’enquête nous dira s’il s’agissait ou non d’un acte terroriste, mais qui a d’ores et déjà permis à la grosse presse de passer quasiment sous silence l’arrestation d’authentiques djihadistes qui préparaient un attentat au couteau à Berlin.

« Un Allemand et non un réfugié »…

Samedi après-midi, en effet, un individu au volant d’une camionnette fonçait sur les clients d’un café de la place Kiepenkerl, dans le centre-ville de Münster, tuant deux personnes et en blessant une vingtaine. Après quoi, le conducteur se suicidait avec une arme à feu. De quoi soupçonner une nouvelle attaque djihadiste. Or, avant même que les enquêteurs n’aient commencé leur travail, le ministre de l’Intérieur de la région de Münster s’empressait d’annoncer que « la piste du terrorisme islamiste est écartée », et allait même jusqu’à préciser que le coupable était… « un Allemand et non un réfugié ». On notera au passage que, dès lors qu’il s’agit d’innocenter les dizaines de milliers de clandestins accueillis par Merkel, il est permis de rendre publique l’origine ethnique du coupable ! Dans la foulée, la ZDF, reprise bien sûr par l’ensemble des médias, nous expliquait que l’individu avait « des liens avec l’extrême droite » et évoquait – très sérieusement – l’hypothèse d’un acte néonazi !

Manque de chance, il semble, selon les premiers éléments de l’enquête, que le Jens R., au passé de petit délinquant et de toxicomane, chez qui les policiers ont trouvé une kalachnikov démilitarisée, et dans la camionnette duquel ne figuraient qu’un pistolet d’alarme, des pétards et du fil de fer, souffrait surtout « de graves troubles psychiatriques ». Ce qui a fait dire au chef de la police de Münster que « nous n’avons jusqu’ici […] aucun élément sur des motivations politiques ».

Faux « réfugiés » mais vrais djihadistes

Si les gros mensonges véhiculés par la police allemande lors des viols massifs de la Saint-Sylvestre doivent nous inciter à rester prudents, il est en revanche une chose d’ores et déjà acquise : ce carnage de Münster aura en tout cas permis aux médias germaniques mais aussi français de se faire particulièrement discrets sur l’arrestation dimanche dans la capitale allemande de six vrais djihadistes âgés de 18 à 21 ans qui projetaient, eux, de poignarder plusieurs spectateurs et participants du semi-marathon prévu le jour même à Berlin. Le principal suspect serait notamment un proche d’Anis Amri, l’islamo-terroriste qui avait fait 12 morts en projetant un camion dans la foule du marché de Noël de Berlin en décembre 2016. Surveillé depuis plusieurs jours par la police allemande, il était en possession de deux couteaux au moment de son arrestation.

Article paru dans les colonnes du quotidien Présent.

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