16 juin 2016

Bientôt l’Eurabia, entité tant rêvée par les adeptes du mondialisme

Par admin

 

Irresponsabilité, insouciance, inconséquence de Ministres de la ville en Ministre de l’intérieur, il n’y a que détachement, indifférence et souvent désinvolture. La politique en tant que telle, n’est pas responsable, mais les politiques par contre, le sont pleinement, et ce, depuis plus de 40 ans par cette montée de la violence.

L’assassinat de deux policiers, puisque la femme était aussi policière prouve que nous avons franchi un nouveau cap qui verra le « gentil » Cazeneuve écraser une larme de plus, faire sa petite déclaration, déposer une décoration à titre posthume, et retourner à ses occupations jusqu’au prochain assassinat. Affligeant constat qui se répète de nouveau.

Désintéressement de ces politiciens envers les citoyens vivant dans les zones de non-droit, dans les quartiers hors république, et pour des affirmations comme celle de l’une de ces propagandistes, clairement racistes, de ces « défenseurs » de la différence qui annoncent clairement un avenir sombre pour les blancs et autres « Français de souche » déclarés « sous chiens » et bon à être rééduqués.

Dans son ouvrage de 2016, Les Blancs, les Juifs et nous, Houria Bouteldja, née en Algérie ayant fait ses études en France, écrivait : « J’appartiens à ma famille, à mon clan, à mon quartier, à ma race, à l’Algérie, à l’islam. » Tout est dit. Combien sont-ils de ces intellectuels qui façonnent les cerveaux des plus demeurés d’entre eux ?

Désinvolture judiciaire en laissant ces « antiracistes » délivrer leur message de haine. Désinvolture en libérant des agresseurs parce que « déséquilibrés ». Combien de signalements oubliés ? De fichés « S » évaporés dans la nature alors même qu’ils étaient signalés comme de potentiels terroristes ? Irresponsabilité pour ceux qui sont en prison en les regroupant en quelque sorte, dans des écoles de la radicalisation islamiste.

Insensibilité face à la détresse des victimes. Avant-hier, c’était les habitants des cités en souffrance que les habitants des beaux quartiers parisiens, de Neuilly-sur-Seine, de Chatou, du Vésinet ou de Saint-Germain-en-Laye, pouvaient oublier facilement. Hier, c’était des zones entières qui étaient désertées par les services de police, les administrations et les commerces, tout en laissant les bandes organiser l’économie souterraine. Des territoires abandonnés aux salafistes et autres intégristes appliquant la charia, et y compris envers les « mécréants ». Et aujourd’hui, c’est deux policiers qui ont été assassinés par un détraqué d’islamiste qui a appliqué à la lettre le message coranique et a terrorisé à jamais leur fils de trois ans désormais orphelin. Pas d’amalgame diront les belles âmes.

Irresponsabilité de ces pouvoirs politiques qui n’ont eu comme simple obsession que de financer des organisations de type « chiens de gardes », soi-disant antiracistes, islamophobes, xénophobes, homophobes et que sais-je, en écartant les véritables risques et dangers issus de la barbarie religieuse. Ces pouvoirs politiques font taire les « lanceurs d’alertes », les condamnent sévèrement en justice et cherchent à briser les thermomètres de la société civile. Ils ont étouffé les discours alarmistes sur la montée de l’islamisme, laissé organiser des réunions et des débats ouvertement antirépublicains comme les rassemblements de l’UOIF, organisation affiliée aux frères musulmans considérés par plusieurs pays comme étant d’essence violente si ce n’est terroriste.

Inconséquence (trahison ?) de politiciens qui se sont placés sous la domination de pays comme le Qatar et l’Arabie Saoudite et qui n’obéissent plus à l’intérêt général, mais à des intérêts particuliers et surtout financiers que l’on voit se traduire ouvertement désormais par la mise en place d’Eurabia, cette entité, tant rêvée par les adeptes du mondialisme, d’une Europe islamisée et soumise, englobant le Moyen Orient et une partie de l’Afrique dont nous vivons en ce moment un épisode flagrant, à travers une invasion-occupation migratoire essentiellement musulmane forcée et contre l’avis des peuples.

Certes, tous les musulmans ne sont pas des terroristes islamistes, mais cessons de nier que les terroristes islamistes sont bel et bien des musulmans. Il serait tout de même temps que les responsables politiques se tournent vers les responsables religieux musulmans et leur posent une question simple : qu’avez-vous fait ?

Il serait plus que temps que ces responsables politiques (Sarkozy, Hollande, Hortefeux, Valls, Cazeneuve, Hidalgo, etc.) se penchent véritablement sur le discours des Imams au lieu de se précipiter aux ruptures de jeûne du ramadan pour y faire allégeance. Qu’ils écoutent les prêches de violence antirépublicains, anti femmes libres. Les fondements de l’islam ne sont en rien, pacifiques. Le message essentiel du Coran et un message de guerre et de conquête. Les musulmans qui aujourd’hui, et pour la plupart, n’ont pas lu le Coran, pas même les Hadiths et qui vivent surtout un islam de tradition familiale, vont bientôt se retrouver face à la réalité d’un prophète de la violence, adepte de l’esclavage, pourvoyeur de la mort du mécréant, du chrétien, du juif, de la soumission à un Allah de haine, qui ne supporte pas la liberté des femmes et des hommes d’être libre de choisir entre un hypothétique paradis dans l’au-delà, et celui bien réel, qu’ils vivent sur terre dans notre beau pays de France.

Qui sont responsables de ces actes, de cette violence sinon les autorités musulmanes, politiques, judiciaires, policières qui, chacune à leur niveau, se sont empressées de taire les risques de l’immigration et sa radicalité. De faire le dos rond, de botter en touche, de passer la main à l’un et à l’autre, en espérant que les choses se calmeront. Ils sont tous en cercle et tous, psalmodiant les mêmes discours « humanistes », « droits de l’hommistes », « état de droit », « liberté et fraternité » sur toutes les chaînes de télévisions et de radios, ils condamnent la paille de « l’extrême droite » avec une poutre islamiste planté dans l’œil, sans oublier ceux qui sévissent dans les rues de France et occupent nos Places avec la bénédiction des médias.

Indifférence de certains qui savent probablement que cette Eurabia verra sans doute le jour, et que ce sont des citoyens de France qui paieront le prix du sang irrémédiablement versé. Des familles vont se retrouver happées par un orage idéologique et religieux qui touchera toutes les familles de France et jusque dans les campagnes profondes où grâce au pouvoir politique de l’Union Européenne, s’installent des déserteurs au mieux, des sujets d’Allah au pire, et qui n’auront rien à voir avec une quelconque richesse.

Dédain et mépris envers les Français de la part de ces politiques qui répètent le même discours compassionnel à chaque attentat, à chaque agression, à chaque meurtre commis ou non par des islamistes. Ils ne font que nous prouver finalement qu’ils ont un train de retard sur les événements. Ils courent de plateaux en plateaux, la mine déconfite, la main sur le cœur, et nous prouvent par leurs visages apprêtés, aux larmes peintes en rouge, qu’ils ne contrôlent plus rien. Ils n’ont plus la main. Ils sont comme des marionnettes dont les fils se perdent à Bruxelles, voire plus loin encore.


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Philippe Randa,
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