24 mars 2020

À quelque chose malheur est bon

Par Richard Dessens

 

 

Le fameux « effet papillon » pourrait être avantageusement remplacé par un nouvel « effet virus », tant ses conséquences pourraient en dépasser l’évènement initial.

L’« effet virus » n’en est encore qu’à ses balbutiements si l’on en croit de nombreux scientifiques qui ne cessent d’alerter depuis des années sur la dégradation progressive mais accélérée du permafrost qui libère des virus vieux de plusieurs centaines de milliers d’années et totalement inconnus.

Bref, on peut se demander si les infections virales de plus en plus dévastatrices et de toutes sortes, devant lesquelles la science semble impuissante, ne sont pas en train de remplacer à la puissance dix les guerres et cataclysmes naturels, somme toute assez artisanaux quant à leurs facultés destructrices du genre humain.

Certains pourraient évoquer une sorte de revanche de la Nature bafouée, d’autres, plus pieux, un fléau de Dieu vengeur devant l’impiété des hommes qui se sont pris pour lui, comme ils ont cru pouvoir dompter et massacrer la Nature.

Mais ce ne sont pas les quelques milliers, ou même dizaines de milliers, de morts du virus actuel qui modifieront les grands équilibres, ou déséquilibres, des presque huit milliards d’êtres humains. Ils sont une goutte d’eau dans l’océan de la surpopulation mondiale.

En revanche, la panique déclenchée est une réjouissance, une pause magique, pour la Nature, sa faune et sa flore, libérées du fléau humain pour quelques semaines. La pollution s’effondre, les animaux ne sont plus, ou peu, chassés, au moins dans certaines zones du globe. Cette respiration naturelle est un premier effet positif de l’ « effet virus ».

 

effondrement-collapsologieLe second pourrait remettre en cause, mieux que de nombreux opposants politiques s’époumonant à le dénoncer, le système économique et financier de la mondialisation folle. Nos élites à l’intelligence supérieure pourraient-elles douter ? Certes pas ! Mais elles font semblant : M. Macron, champion de l’ultralibéralisme et de la mondialisation heureuse, prétend qu’il faudra revoir notre système après la crise sanitaire. Qui pourrait le croire ? Effet d’annonce –un de plus– qui ne sera bien entendu jamais suivi d’un revirement fondamental qu’il est incapable d’assumer tant son idéologie financiaro-mondialiste est ancrée dans ses gènes. Mais en attendant, il doit y avoir des Français qui y croient… alors que les économies de l’après-crise repartiront malheureusement de plus belle sur les mêmes rails mondialistes. La puissance chinoise y veillera certainement, acculée, elle aussi, par un système dont elle ne peut plus se passer.

Pourtant, cet épisode sanitaire est une chance peut-être unique de balayer une fois pour toutes l’idéologie mondialiste et tous ses avatars. De revenir au bon sens et d’assumer le destin d’une Europe nouvelle, aux activités relocalisées, souveraine et puissante, débarrassée d’une idéologie prétendument humaniste, droits-de-l’hommienne, du tout économique, de la honte de son identité.

Une Europe purgée des soi-disant écologistes à la Greta Thunberg, gorgés de mixité, surpopulationnistes, à la générosité facile et énamourée, et ne parlant de Nature et de pollution que pour mieux servir l’humain sacralisé et déjà en surnombre.

L’humain détruit la Nature par sa seule activité et aujourd’hui un petit virus annonce qu’un autre pourra peut-être détruire l’humain en quantité suffisante pour permettre à la Nature, elle, de ressusciter. Cette Apocalypse virale est peut-être le remède au sauvetage de la Nature et des hommes redevenus raisonnables. Le prix à payer pour les folies humaines, scientifiques et médicales pour prouver que l’homme est plus fort que tout. Prix à payer pour rappeler que l’homme n’est que l’humble partie d’un Tout et non le supérieur dictatorial de l’ordre naturel.

Oui, la pandémie devrait bouleverser l’ordre – ou le désordre – politique de l’Europe.

Faisons un rêve.

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