11 février 2018

Des emplois sacrifiés sur l’autel du féminisme délirant

Par Philippe Randa

 

« Le politiquement correct devient fou ! » : ce cri du cœur, après la suppression des grid girls sur les circuits de F1, n’émane ni d’un militant identitaire, ni d’un collaborateur de la presse de réinformation, mais d’une femme, Rebecca Cooper, cinq fois hôtesse sur les pistes de F1 ; il reflète ainsi l’opinion de l’immense majorité de ceux qui la suivent sur son compte Twitter.

Grid girls : #balanceleur emplois…

Grid girls : #balanceleur emplois…

Ces demoiselles souriantes accompagnaient chaque pilote sur la piste avant le départ d’une épreuve : une source de revenu non négligeable pour elles et aucune ne s’est jamais plainte de son statut, loin de là…

On s’en doute, les chiennes de garde du féminisme qui entendent régenter la vie des femmes, même et souvent contre leur gré, ont donc fait pression pour que les dirigeants de la F1, vu le climat de lynchage médiatique actuel sur la supposée victimisation des femmes et les amalgames douteux qui en découlent, fassent montre d’une évidente lâcheté en supprimant cette activité des circuits…

« C’est ridicule que des femmes qui affirment se battre pour les droits des femmes disent aux autres ce qu’elles devraient ou non faire. On nous empêche de faire un travail que nous aimons et que nous sommes fières de faire », s’insurge Rebecca Cooper.

Après la Tribune signée début janvier par plus de cent femmes qui s’inquiétaient de la montée d’un nouveau puritanisme se livrant à la délation avec la campagne #balancetonporc, verra-t-on sous peu naitre une autre Tribune pour s’inquiéter des emplois sacrifiés sur l’autel du féminisme délirant ?

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