3 novembre 2019

Charlotte Gainsbourg contre le politiquement correct

Par Philippe Randa

La vérité sort de la bouche des enfants, dit-on… et même si l’enfant est désormais, à 48 ans, mère de famille. Ainsi les récentes déclarations de Charlotte Gainsbourg, « fille de » feu Serge Gainsbourg dans The Guardian qui ne manquent pas d’être reprises, tout de même ! par plusieurs sites internet et titres de la presse française, notamment Le Figaro qui titre – qui l’eût crû ? – « Mon père serait censuré aujourd’hui »… comme le premier Zemmour venu, finalement !

Charlotte Gainsbourg.

Charlotte Gainsbourg.

« Mon père serait censuré à chacun de ses choix, déclare-t-elle. Tout est si ennuyant, si prévisible. Chacun est terrifié de ce qui pourrait arriver s’il va trop loin », estime-t-elle, ajoutant « qu’en quelques tweets une carrière peut être réduite à néant à l’heure actuelle. »

Coluche et Pierre Desproges qui, même pour nombre de zélés donneurs de leçons de bien-pensance, ne pourraient plus faire rire avec certains de leurs sketchs, seraient donc désormais rejoint par l’icône des « provocateurs devant l’éternel » s’il en est !

Il est certain qu’on peut apprécier ou non le talent déployé par l’artiste pour réinterpréter à sa manière La Marseillaise – c’est-à-dire, pour les moins de 20 ans qui l’ignoreraient, sur un rythme reggae, ce qui n’avait guère été du goût de tous à l’époque – ou pour jouer de façon douteuse sur les mots (zeste de citron et inceste) – dans sa chanson « Lemon Incest », interprétée justement avec Charlotte, alors juvénile adolescente… mais c’était peut-être aussi le prix payer pour une liberté d’expression qui se réduit à notre époque de façon dramatique.

Si les artistes commencent aujourd’hui à ne plus supporter la pensée unique, – car Charlotte Gainsbourg n’est pas la première et sans doute pas la dernière – et même s’ils ont mis du temps à réagir, c’est aussi inespéré que revigorant, non ? Qui s’en plaindrait ?

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