23 juillet 2018

Ce que nous apprend l’étude Pew

Par Irène Dimopoulou

Prenons la pauvreté et la faim sur le continent africain. Depuis les années quatre-vingt, les mondialistes ont fait la promotion – suivant en cela le système américain des Témoins de Jéhovah et des Mormons, système éprouvé avec succès – des campagnes de l’UNICEF pour les enfants de l’Éthiopie (rappelez-vous Bob Geldof et son tube planétaire We are the world) avec publicités de petits Africains, bouches couvertes de porridge…

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Près de quarante années plus tard, les petits Africains sont toujours affamés, les mondialistes n’ayant réussi qu’à enrichir Bob Geldof, comme tous ceux qui se sont occupé de la famine africaine, y compris et surtout nombre d’organisateurs des campagnes visant à nourrir les Africains ; certains s’étant reconvertis dans leurs envois en Europe pour se servir… Une Europe pourtant si diabolisée naguère (et toujours !) pour son abominable colonialisme d’antan.

Fort de cette expérience, la lutte des mondialistes « contre le racisme et la xénophobie » aura probablement des non-résultats identiques.

Nombre de journalistes, juges autoproclamés du Bien contre le Mal, comparent les dirigeants politiques taxés de populisme – Kurz, Orban, Kaczynski et Salvini – à Mussolini par dépit que leurs peuples les aient missionnés pour mettre fin aux « frontières ouvertes » et faire que l’intérêt des peuples européens l’emporte sur celui de la finance internationale !

Comme l’a démontré le sondage de la société de recherche Pew, la montée des « populistes » n’est pas seulement due à la crise économique, comme les médias le rabâchent, exprimant ainsi l’obsession des mondialistes.

Ainsi, en Allemagne, 77 % des électeurs de l’Afd (Alternative pour l’Allemagne) considèrent que l’économie du pays est bonne.

Cette étude Pew a eu lieu du 30 octobre au 20 décembre 2017 dans huit pays de l’Europe occidentale (l’Europe centrale et la Grèce n’y sont pas incluses) : Danemark, France, Allemagne, Italie, Pays-Bas, Espagne, Suède et Royaume-Uni qui représentent 70 % de la population européenne et 75 % de l’économie de l’Union Européenne.

Voici les conclusions de la recherche :

  • Les « populistes » sont la plus grande force politique en Europe ;
  • Le facteur idéologique reste puissant pour déterminer la façon dont les Européens sont confrontés à des questions de politique clés ;
  • La nostalgie de « leur » Europe est importante dans la sélection des partis. Six Français sur dix qui ont une opinion positive du Rassemblement national (ex-Front National) affirment que la vie en France est pire qu’elle ne l’était il y a 50 ans ;
  • L’ethnocentrisme et la conviction que la culture européenne est supérieure jouent un rôle décisif dans leurs choix politiques pour 61 % des sympathisants allemands de l’Afd, 56 % de ceux du RN (ex-FN) français et 47 % de ceux du Parti pour la Liberté (PVV) néerlandais ;
  • L’islam ne convient pas à l’Europe : 75 % des sympathisants Afd, 66 % des ceux du PVV et 63 % de ceux du RN pensent que l’islam est fondamentalement incompatible avec leur culture et leurs valeurs.

Leaders d’opinion, bénéficiaires de George Soros et orphelins de Staline sont aujourd’hui contrits par ce constat accablant pour eux : les peuples d’Europe qui renaissent des cendres des deux grandes guerres du XXe siècle en sortent gagnants, ne leur en déplaise !

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