7 mai 2019

Le nouveau vandalisme religieux supra-sélectif

Par Bernard Plouvier

C’est bien connu : depuis la Loi de 1905 instaurant la séparation des Églises et de l’État, nos princes – le Président de la République, son Premier ministre et le titulaire de l’Intérieur et des Cultes – sont rigoureusement impartiaux dans leur attitude envers les religions, leurs clergés et leurs fidèles.

En 2017, 1063 églises, chapelles et temples ont été vandalisés et 875 durant l’année 2018, pour la seule métropole.

En 2017, 1063 églises, chapelles et temples ont été vandalisés et 875 durant l’année 2018, pour la seule métropole.

On se souvient des hurlements des médias lorsque des ordures (restées anonymes et impunies) ont profané un cimetière juif en Alsace et un autre dans la région lyonnaise, au mois de février 2019. Il faut croire que les choses vont plus mal encore en Europe centrale et orientale, puisque les autorités de Pologne, Lituanie, Ukraine, Moldavie et Grèce font survoler les cimetières juifs par des drones.

Toutefois pour être logique, l’on doit comparer les retentissements médiatiques des profanations de cimetières et d’édifices religieux de tous bords. C’est ce que peut faire l’athée, strictement indifférent au plan dogmatique, mais financièrement intéressé par les conséquences du vandalisme… puisque, par l’effet de la Loi de 1905, les contribuables réparent les dégâts.

En 2018, ce sont 59 cimetières chrétiens qui ont été profanés, dans le silence sépulcral (!) du ministre et des médias. En 2017, 1063 églises, chapelles et temples ont été vandalisés et 875 durant l’année 2018, pour la seule métropole.

Seuls l’aveugle et le sourd ignorent l’origine des profanateurs, une origine commune aux actes antichrétiens et judéophobes.

Le traitement médiatique est aussi sélectif que l’attention du ministre de tutelle, surmené à force de réprimer les dangereux « fascistes » et autres Gilets mordorés. On nous ressort l’antienne de « l’extrême-droite », alors que les attentats qui se sont multipliés en France depuis l’année 2014 (car ils ont commencé avant l’affaire de la boîte de nuit parisienne) sont exclusivement dus aux djihadistes.

Des élections doivent prochainement avoir lieu. L’occasion serait peut-être bonne pour les croyants sincères de sanctionner un pouvoir sourd et aveugle aux véritables sociopathes, inutilement importés en France, par complaisance envers l’islamo-pétrodollar.

Pour en savoir plus sur la loi de 1905, lire Loi sur la laïcité : La grande pitié des églises de France de Maurice Barrès (de L’Académie Française), éd. Dualpha, collection « Patrimoine Des Héritages », dirigée par Philippe Randa. 436 pages, 35 euro. Pour commander ce livre, cliquez ici.
De 1910 à 1914, Barrès mène campagne pour la défense des églises menacées de ruine. La loi de Séparation de 1905 a des lacunes, le Pape refuse la constitution d’associations cultuelles, le patrimoine religieux français est en péril. N’excluant aucun des divers héritages qui ont façonné l’histoire de la France, Barrès considère les édifices religieux d’abord comme un « trésor national » qui constitue « la belle chaîne de l’art français » et doit, à ce titre, être préservé.

Loi sur la laïcité : La grande pitié des églises de France, Maurice Barrès (Éd. Dualpha).

Loi sur la laïcité : La grande pitié des églises de France, Maurice Barrès (Éd. Dualpha).

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