30 août 2016

Le pape François et George Soros : l’autre « axe du mal » !

Par Nicolas Bonnal

 

Le pape François est à l’évidence le complice d’un George Soros et de la société ouverte (je reviendrai sur celle-ci, car de Bergson à Guénon en passant par Popper et Soros, cette notion destroy a de quoi intéresser les moins curieux). Ce pape luciférien est vendu à la mondialisation et à ses rutilants oligarques, tout en pleurnichant pour les pauvres, ce qui lui permet de justifier une grande invasion.

Je cite le travail de mon amie Béatrice B. sur son site Benoît-et-moi-2016, site qui permet de se rendre compte qu’il y eut pronunciamiento en 2012, quand le traditionnel pape Benoît fut « remplacé » pour accélérer l’agenda du Nouvel ordre Mondial. Béatrice traduit Maurizio Blondet (elle cite souvent aussi Antonio Socci) : « En tout cas, il ne faut pas oublier qu’en décembre 2015, El papa n’a pas hésité à se faire payer par des protagonistes de l’idéologie mondialiste la scénographie-profanation de Saint-Pierre, où l’on a projeté des images géantes d’animaux sauvages, de singes et de fauves – un triomphe de la « nature » sur la culture et sur l’histoire, au titre symbolique « Fiat Lux », indiquant que, finalement, la lumière du progrès illumine l’obscurantisme clérical. Le spectacle obscène avait été payé par la Banque mondiale, et plus particulièrement par son programme pour la terreur du réchauffement climatique (il faut réduire les émissions…), par le numéro deux de Microsoft Paul Allen et par une organisation nommée Okeanos Fondation pour la mer. »

N’oublions pas non plus la profanation du Duomo de Milan (Eros de Versace), dont j’ai déjà parlé dans un article publié sur le site Bvoltaire.fr.

Et Blondet de rappeler l’autre axe du mal Klein-Sacks-Bergoglio via l’écologie : « Mais pour la Junta Vaticane, c’était tout simplement la célébration et l’apothéose de l’encyclique « Laudato Si », première encyclique écologiste jamais écrite par un Pape, mais surtout franc manifeste de la gnose panthéisto-évolutionniste, qui est la vraie foi de « François » : El papa exhorte, comme nouvelle obligation catholique, de développer en nous la conscience éco-New Age, de « ne pas être séparé des autres créatures, mais de former avec les autres êtres de l’univers une merveilleuse communion universelle » (n. 220). Plus d’acceptation de la Croix, mais oui au recyclage [des déchets] et à la gouvernance mondiale du climat. »

Le déchet remplace la croix, on est bien d’accord.

Et de poursuivre sur la question russe orthodoxe. Cependant, l’écheveau a un bout (NDT : « il existe une clé possible »), qu’il est utile de garder en main dans l’enchevêtrement des donations de Soros. Il se situe dans les mails où le directoire de l’Open Society signale le danger représenté par le fait que « la Russie essaie d’accroître son influence dans la vie politique européenne. »

Et de conclure d’une manière juste et guénonienne, en défense de la Tradition bafouée par une junte vaticane qui favorisera la guerre entre chrétiens voulue par le Nouvel ordre Mondial : « Il faut absolument lutter contre « le soutien de la Russie à des mouvements qui défendent les valeurs traditionnelles ». Ce n’est pas la « réaction », ou le « populisme », mais précisément la Tradition qui est ici désignée comme l’ennemi – l’ennemi de la Dissolution à étouffer. »

Et Maurizio Blondet rappelle au passage le satanisme financier du « disciple » Georges Soros : « Comme nous l’avons vu, Soros finance Arcigay (une association LGBT) en Italie, et Planned Parenthood aux États-Unis (l’organisation pro-avortement dont on a découvert l’an dernier qu’elle faisait le commerce des organes de fœtus), payé les « révolutions colorées » et l’opposition à Orban en Hongrie ; il inspire le gouvernement de Kiev pour faire la guerre à la Russie, il gère (à travers des ONG ad hoc) l’inondation des immigrés en Europe, et en même temps il excite des organisations de minorités ethniques Latinos aux États-Unis, dans le but de changer la démographie des collèges électoraux de manière à favoriser Hillary contre Trump. Dans le même but, il paie des organisations racialistes comme Black Lives Matter (650 000 $) pour qu’elles interrompent les discours de Donald [Trump]. Il a financé des tentatives répétées de manifestations LGBT à Moscou ; en Europe, il a « géré » certaines élections, faisant élire des candidats favorables à l’immigration illimitée, et finance des groupuscules qui, aux Etats-Unis, se battent non seulement pour les « droits des femmes » et des LGBT à entrer dans les unités de combat, mais aussi à loger dans des casernes unisexes ; ou des groupes qui mènent la lutte méritoire pour les toilettes publiques pour trans. Tout cela au nom d’un objectif final clair : la dissolution de chaque ordre, hiérarchie et stabilité dans les sociétés humaines. »

Car la société ouverte est celle du chaos. En attendant prions pour les victimes du tremblement de terre. Car quelqu’un a ici joué de la « harpe » !

Béatrice ajoute, elle, sur cette feinte alliance : « Je n’ai trouvé nulle part (je répète : nulle part) la nouvelle énorme relative à Soros et Bergoglio. Si quelqu’un peut signaler un journal qui a donné (et éventuellement commenté) cette énorme nouvelle, il est prié de le faire. Je la poste de nouveau… Cet article dit qu’il s’est avéré que le puissant milliardaire George Soros – l’un des principaux bailleurs de fonds de la campagne de la Clinton – a débloqué des fonds importants lors de la visite de Bergoglio aux États-Unis pour changer les priorités de l’Église (de celles en faveur de la vie à celles politiquement correctes), pour faire en sorte que les évêques se rangent derrière Bergoglio, pour arrêter l’opposition catholique à l’idéologie gay, pour faire en sorte que l’Église américaine – à travers Bergoglio – se range en faveur de Clinton et contre Trump. On dit même qu’en 2015 déjà, il y aurait l’influence de Soros derrière l’embardée écologiste imprimée par Bergoglio à l’Église. »

Les ennemis du pape subversif on les connaît : les Européens de souche, Trump, la Tradition, la Russie, l’État-nation, tout ce qu’on aime – et qu’il veut éradiquer.

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Philippe Randa,
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