2 avril 2018

Chômage égal en France et… aux USA

Par Euro Libertes

par Christian Daisug.

En France, il y a 6,3 millions de personnes au chômage ; aux États-Unis, 6,6 millions. En gros, les deux chiffres se rejoignent. En France, c’est une calamité ; aux États-Unis, un succès. Tout simplement parce que les États-Unis, si l’on compte les vingt millions d’illégaux, sont cinq fois plus peuplés que la France.

Surmontant tous les tabous auxquels Paris reste si attaché, le ministère du Travail à Washington vient de publier la répartition de ses chômeurs par race. Blancs : 3,7 %. Asiatiques : 2,9 %. Hispaniques : 4,9 %. Noirs : 6,9 %. Deux observations : il faut remonter cinquante ans en arrière pour retrouver un nombre aussi faible de demandeurs d’emploi, 210 000 ; et le mois de février restera longtemps dans les annales avec ses 313 000 créations d’emplois alors que les experts les plus optimistes en prévoyaient au maximum 200 000. Les salaires ont suivi, bien sûr, ce rebond : leur augmentation moyenne a été de 3 % depuis le changement de régime. Cela ne s’était vu ni sous George Bush, ni sous Barack Obama. Décidément, la droite molle et la gauche caviar ne sont pas bonnes pour le social.

Depuis que Donald Trump est au pouvoir, son populisme a ajouté plus de trois millions d’emplois, dont 275 000 dans les manufactures. C’est là que l’on touche à l’essentiel. Les États-Unis se réindustrialisent. Quand Obama était aux commandes comme agent docile du globalisme (2008-2016), les Etats-Unis perdaient chaque mois plus d’un millier d’emplois dans les manufactures. On assiste à une renverse spectaculaire. Le pays retrouve son maillage d’industries. Les clignotants sont au beau fixe dans le bâtiment, le mobilier, les transports, l’automobile, les ordinateurs, l’appareillage électrique, le charbon, le pétrole et le gaz, la finance, la médecine. Le dynamisme personnel de Trump – son expérience, son intuition – et la bonne dose de protectionnisme injectée dans les rouages ont contribué à cette montée en flèche. Une renaissance saluée par 83 % d’Américains – pourcentage recoupé par plusieurs sondages que la presse aux ordres n’a pas voulu publier.

Les paramètres du bon sens

Cette éclatante réalité, deux experts, Mark Muro et Ben Casselman, avaient refusé d’y croire. Pourtant, ils sont payés plusieurs millions de dollars par Wall Street pour appréhender le futur en économie. Le premier avait dit : « Les emplois dans les manufactures ne reviendront jamais. »

Le second avait affirmé : « Trump ne pourra jamais s’attaquer au chômage. »

Paraphrasons Maurras : tout désespoir en économie est une sottise absolue. Pourquoi ? Parce qu’il y a toujours une solution. Et parce que le libre-échangisme n’est pas la panacée. Trump a agi sur des paramètres de bon sens. Il a notablement allégé les charges fiscales qui pesaient sur les entreprises. Il a disloqué la réglementation liée à l’écologie qui servait aux idéologues à asphyxier les patrons. Il a donné l’ordre de creuser davantage la terre américaine et les eaux territoriales pour que le pétrole et le gaz consommés soient de plus en plus américains. Il a soulagé la classe moyenne d’impôts nuisibles afin qu’elle retrouve son pouvoir d’achat et le commerce ses couleurs. Enfin, il a incité les industriels étrangers voulant éviter les droits de douane à s’installer carrément aux Etats-Unis.

Certes, beaucoup reste à faire. Mais Trump est combatif. On l’a vu avec les tarifs appliqués aux entrées de l’acier et de l’aluminium. Et n’oublions pas les sanctions qui frappent la Chine, accusée de mener une guerre commerciale sournoise. Le chef de la Maison-Blanche est partie intégrante du boom économique.

 Article paru dans les colonnes du quotidien Présent.

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