25 juillet 2019

L’Algérie plus française que jamais

Par Jean-Pierre Brun

Des esprits aussi chagrins qu’ignorants contestent le déferlement sur les Champs-Élysées de dizaines de milliers de supporters de l’équipe d’Algérie, lauréate de la très récente coupe d’Afrique de football.

Du « vivre ensemble » au « jouez ensemble »… la troisième mi-temps !

Du « vivre ensemble » au « jouez ensemble »… la troisième mi-temps !

Si ces pisse-froid connaissaient les origines des vainqueurs, ils ne manqueraient pas de magnifier les vertus de l’Algérie française. Savez-vous que ces artistes de la balle ronde sont dans notre ancienne province de Berbèrie, autant d’ambassadeurs de notre savoir-faire ?

À tout seigneur tout honneur : leur brillant entraîneur n’est autre que Belmadi, l’enfant de Champigny-sur-Marne. Avec cet art de l’improvisation indispensable aux grands stratèges, il n’a pas hésité à fusionner des éléments aussi hétérogènes que d’authentiques titis parisiens comme Bolhi et Brahimi, des fortes de têtes des Fortifs et de la Grande Ceinture comme Mahrez (Sarcelles), Feghouli (Saint-Ouen), Tahrat (Meudon), Abeid (Montreuil), ou encore Farès (Aubervilliers).

Expert dans l’art de forger les alliages les plus spéciaux il a osé utiliser des matériaux exogènes comme le gone Zeffane (Sainte Foy lès Lyon), le champenois Mandi (Châlons-sur-Marne), le ventre à choux Guedioura (La Roche sur Yon), le camarguais Bennacer (Arles) , l’éduen Oukidja (Nevers), le tourangeau Ounas (Chambray-lès-Tours) et un descendant du naufrageur Barberoussette, Andy Delort ( Sète).

Mais, me direz-vous, le football se pratique à onze joueurs. Oui, mais quand on aime on ne compte pas.

Plus que jamais, comme le proclamait jadis le grand visionnaire de Colombey, sur les escaliers encombrés du Forum d’Alger, il faut croire en cette Algérie nouvelle et fraternelle qui répand ses bienfaits de Dunkerque à Tamanrasset, de la rue Maurice Audin de Saint Ouen jusqu’à la rue Didouche Mourad de Constantine , de la rue Frantz Fanon de Bobigny jusqu’à l’avenue Boumedienne de Tizi Ouzou.

C’est beau, c’est grand, c’est généreux, la France !

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