17 octobre 2018

Inattaquable

Par Jean-Pierre Brun

Quel honnête observateur pourrait nier que les dirigeants des États européens utilisent aujourd’hui toutes les portes dérobées pour éviter de se retrouver face à une réalité qui, de fait, les terrorise.

Boualem Sansal.

Boualem Sansal.

À ce jeu, convenons-en, notre président n’est pas le moins assidu. Nous aimerions tant être la légendaire petite souris pour nous glisser dans son bureau « ovale » (il ne tourne en effet pas rond), afin de prendre connaissance des rapports rédigés par les responsables de la sécurité du pays. Mais chut ! il ne faut pas réveiller le chat qui dort. Et malheur à celui qui oserait évoquer publiquement leur contenu. Il serait bien vite poursuivi pour propagation, non pas d’informations confidentielles, mais de « fake news » séditieuses.

Depuis la plus haute antiquité nul n’est prophète en son pays et comme le chantait Béart, le premier qui dit la vérité doit être exécuté.

Craignant de subir personnellement, sinon les foudres du Jupiter élyséen, du moins celles de sa domesticité, je préfère, pour transmettre quelque message compromettant, me planquer prudemment derrière l’un de mes frères algériens. Eux sont protégés par leur nationalité mais surtout leur arabité immunitaire, quand bien même seraient-ils berbères.

C’est ce que je fais aujourd’hui en sollicitant hypocritement l’ami Sansal, lauréat du Prix Clara Lanzi 2018. Il n’a pas hésité, à la faveur de la cérémonie qui l’honorait, d’épicer son discours à l’harissah du Cap Bon, pour mieux nous faire apprécier la vraie situation de notre pays :

« S’agissant de la France, il faut ouvrir les yeux et constater qu’elle n’est plus vraiment la France. Chaque jour l’islam s’enhardit dans ses versions radicales wahhabite, salafiste et djihadiste et telle une meute harcelant sa proie, ses troupes lui arrachent un morceau de chair par-ci, un autre par-là, pendant qu’elle se vide de son sang. Et vient le moment où la proie cesse de se débattre, elle accepte l’inéluctable. »

Non, Messieurs les censeurs, vous n’oserez pas traiter de « populiste » un citoyen algérien, qui plus est auréolé du « Prix du roman de l’Académie Française ».

Mais rassurez-vous, il vous reste Zemmour pour vous faire les dents. Il est français, lui.

EuroLibertés : toujours mieux vous ré-informer … GRÂCE À VOUS !

Ne financez pas le système ! Financez EuroLibertés !

EuroLibertés ré-informe parce qu’EuroLibertés est un média qui ne dépend ni du Système, ni des banques, ni des lobbies et qui est dégagé de tout politiquement correct.

Fort d’une audience grandissante avec 60 000 visiteurs uniques par mois, EuroLibertés est un acteur incontournable de dissection des politiques européennes menées dans les États européens membres ou non de l’Union européenne.

Ne bénéficiant d’aucune subvention, à la différence des médias du système, et intégralement animé par des bénévoles, EuroLibertés a néanmoins un coût qui englobe les frais de création et d’administration du site, les mailings de promotion et enfin les déplacements indispensables pour la réalisation d’interviews.

EuroLibertés est un organe de presse d’intérêt général. Chaque don ouvre droit à une déduction fiscale à hauteur de 66 %. À titre d’exemple, un don de 100 euros offre une déduction fiscale de 66 euros. Ainsi, votre don ne vous coûte en réalité que 34 euros.

Philippe Randa,
Directeur d’EuroLibertés.

Quatre solutions pour nous soutenir :

1 : Faire un don par virement bancaire

Titulaire du compte (Account Owner) : EURO LIBERTES
Domiciliation : CIC FOUESNANT
IBAN (International Bank Account Number) :
FR76 3004 7140 6700 0202 0390 185
BIC (Bank Identifier Code) : CMCIFRPP

2 : Faire un don par paypal (paiement sécurisé SSL)

Sur le site EuroLibertés (www.eurolibertes.com), en cliquant, vous serez alors redirigé vers le site de paiement en ligne PayPal. Transaction 100 % sécurisée.
 

3 : Faire un don par chèque bancaire à l’ordre d’EuroLibertés

à retourner à : EuroLibertés
BP 400 35 – 94271 Le Kremlin-Bicêtre cedex – France

4 : Faire un don par carte bancaire

Pour cela, téléphonez à Marie-France Marceau au 06 77 60 24  99

Partager :