3 octobre 2018

Mineurs étrangers : la grande escroquerie macronienne !

Par Jean-Claude Rolinat

D’un bout à l’autre du continent africain, du fond de la brousse au plus isolé des douars, via Internet, le téléphone portable, la télévision ou la radio – le tam-tam c’est d’un autre âge ! –, « on » se passe le mot, « on » se le dit, « on » se cotise pour envoyer l’un des siens vers des cieux supposés meilleurs : la France accueille « les mineurs isolés » !

Salle_d'asile

L’inique loi « asile et immigration », avec son volet des plus laxiste mijoté par Gérard Collomb et la majorité LREM, prévoit, pour les « mineurs isolés » éligibles au droit d’asile, le droit au regroupement familial. Oui, vous avez bien lu, un grand gaillard ayant largement dépassé ses 18 ans bénéficiant, grâce aux largesses de la « Gueuse », du droit d’asile, pourra faire venir en France ses parents et sa fratrie. Quand on sait qu’au Niger une femme a, en moyenne, huit enfants (!), fait pourtant dénoncé par Macron lui-même en novembre 2017, à Ouagadougou (Burkina-Faso), il y a de quoi se faire du souci.
Du souci, d’autant que tous ces gens pourront bénéficier, à notre détriment, de largesses insondables.

Déjà, pour les candidats au droit d’asile, gratuité des soins grâce à l’AME, l’aide médicale d’État, l’AFASAE, l’aide sociale à l’enfance, l’ADA, l’allocation pour demandeur d’asile, l’aide juridictionnelle, la prise en charge de l’hébergement…

À deux tirs d’arbalète de mon domicile, une très grosse poignée de « jeunes noirs isolés » est hébergée dans les locaux de l’ancienne gendarmerie, avant qu’ils ne soient accueillis dans des HLM rénovées. Du mobilier a déjà été acheté à cet effet. Le bailleur s’est félicité de pouvoir louer des appartements en toute sécurité, sûr qu’il est d’être crédité de ses loyers, les pouvoirs publics les payant ! Conséquence, quelques « jeunes blanches isolées » sont allées se loger ailleurs, tandis que d’autres candidats au logement ont été priés de passer leur chemin…

En Seine et Marne par exemple

Le département de Seine et Marne par exemple, « mon » département, a réglé plus de 30 millions d’euros pour entretenir ces jeunes gens « isolés », principalement des Africains venant de pays qui ne sont pas tous en guerre : 60 % de Guinéens et d’Ivoiriens. Les Maliens, nombreux, préférant sans doute laisser les soldats français combattre à leur place ! Jean-Louis Thiérot, Président intérimaire du Conseil départemental, avait déclaré au Figaro, en avril dernier, que « faute de documents d’identité fiables, dans un secteur où les falsifications de documents sont monnaie courante, l’évaluation de minorité est un jeu de piste des plus aléatoires. On estime qu’entre 50 et 80 % des demandeurs sont en fait des majeurs ». Et d’ajouter « qu’en l’absence du droit de recourir à l’âge osseux par examen radiologique sans l’accord de l’intéressé (!), l’évaluation faite par les départements ou les juges en cas de contestation aboutit à des jurisprudences contradictoires »…
Voilà où nous en sommes : un pays paralysé par sa propre législation, harcelé par la guérilla constante des associations « caritatives » qui ne sont, en fait, que les « collabos » de l’immigration illégale. Une prime offerte à la clandestinité, un encouragement donné aux passeurs qui jettent sur les flots méditerranéens de plus en plus d’embarcations chargées d’Africains, impatients de bénéficier des énormes avantages offerts par le maillon faible de la résistance européenne qu’est devenue la France. Une France quelque peu isolée face à l’intransigeance nécessaire du Groupe de Visegrad et après la victoire de la coalition Ligue/Cinq Étoiles en Italie. Sans oublier le timide raidissement de l’Allemagne, sous la pression conjointe de l’AfD et de la CSU.

Que faudrait-il faire ?

– Obliger tous ces demandeurs d’asile suspectés de frauder l’État français, à subir un test d’âge osseux ;

– créer un fichier biométrique des personnes déclarées majeures afin d’éviter des tests multiples ;

– expulser immédiatement le requérant ayant fraudé l’État français ;

– supprimer la possibilité du regroupement familial pour un mineur isolé bénéficiant du droit d’asile ;

– construire, bien sûr, les prisons et les centres de rétention fermés qui manquent cruellement à la pratique d’une bonne politique migratoire.

Cet accueil automatique des étrangers se présentant comme « mineurs isolés », est un véritable SCANDALE.

La plus efficace des solutions serait, conjointement avec les pays de la rive nord méditerranéenne et en coopération avec la Libye, de « nettoyer » militairement les nids de passeurs, nouveaux négriers, qui s’engraissent sur le dos des candidats à l’exil. Mais, avec un Macron à Paris et un Sanchez à Madrid, nous n’en prenons pas le chemin. Et pourtant, Matteo Salvini ne pourra pas finir le boulot tout seul.

EuroLibertés : toujours mieux vous ré-informer … GRÂCE À VOUS !

Ne financez pas le système ! Financez EuroLibertés !

EuroLibertés ré-informe parce qu’EuroLibertés est un média qui ne dépend ni du Système, ni des banques, ni des lobbies et qui est dégagé de tout politiquement correct.

Fort d’une audience grandissante avec 60 000 visiteurs uniques par mois, EuroLibertés est un acteur incontournable de dissection des politiques européennes menées dans les États européens membres ou non de l’Union européenne.

Ne bénéficiant d’aucune subvention, à la différence des médias du système, et intégralement animé par des bénévoles, EuroLibertés a néanmoins un coût qui englobe les frais de création et d’administration du site, les mailings de promotion et enfin les déplacements indispensables pour la réalisation d’interviews.

EuroLibertés est un organe de presse d’intérêt général. Chaque don ouvre droit à une déduction fiscale à hauteur de 66 %. À titre d’exemple, un don de 100 euros offre une déduction fiscale de 66 euros. Ainsi, votre don ne vous coûte en réalité que 34 euros.

Philippe Randa,
Directeur d’EuroLibertés.

Quatre solutions pour nous soutenir :

1 : Faire un don par virement bancaire

Titulaire du compte (Account Owner) : EURO LIBERTES
Domiciliation : CIC FOUESNANT
IBAN (International Bank Account Number) :
FR76 3004 7140 6700 0202 0390 185
BIC (Bank Identifier Code) : CMCIFRPP

2 : Faire un don par paypal (paiement sécurisé SSL)

Sur le site EuroLibertés (www.eurolibertes.com), en cliquant, vous serez alors redirigé vers le site de paiement en ligne PayPal. Transaction 100 % sécurisée.
 

3 : Faire un don par chèque bancaire à l’ordre d’EuroLibertés

à retourner à : EuroLibertés
BP 400 35 – 94271 Le Kremlin-Bicêtre cedex – France

4 : Faire un don par carte bancaire

Pour cela, téléphonez à Marie-France Marceau au 06 77 60 24  99

Partager :