12 octobre 2016

L’implantation en cours de l’État islamo-africain

Par Bernard Plouvier

Depuis la plus haute Antiquité, la colonisation d’une terre par un peuple fut toujours marquée par un avantage civilisationnel, même si, initialement, il fallait (pas toujours d’ailleurs) se débarrasser des opposants au progrès, des vieux débris d’une société totalement dépassée.

En France actuelle, du fait de l’irresponsable décret Giscard-Chirac de 1976 sur le regroupement familial des travailleurs étrangers, l’on assiste à une première dans l’histoire de l’Europe. Des peuples sous-évolués et sous-productifs, amenant avec eux des usages barbares et une religion obscurantiste issue du haut Moyen Âge, veulent prendre le contrôle de notre pays, pour y régner en maîtres racistes, sectaires, intolérants et violents.

Cela paraissait probable depuis les années 2010 – même si les complices autochtones de cette invasion parlaient de « fantasme » –, mais l’on fixait à trente ou cinquante ans l’échéance d’implantation de l’État islamo-africain (noir et maghrébin) en France. L’on avait tort !

En ce mois d’août 2016, une famille islamiste issue du Maroc a décidé de s’approprier une plage corse, chassant les Corses et les touristes européens, à coups de pierres, de menaces et d’invectives, puis avec leur harpon et leur poignard (instrument nécessaire à tout bon djihadiste). Ce ne sont pas d’abominables « racistes » (prononcer wwrrraciste) qui l’affirment (n’en déplaise aux pleureurs du Collectif contre l’islamophobie, financé par l’honnête George « Soros », mais un procureur de la République, après avoir entendu les gendarmes venus enquêter sur place.

Le scénario de la colonisation, à la fois sournoise et violente, est bien rodé. D’honorables immigrés-envahisseurs africano-musulmans s’attaquent à des Européens de souche puis hurlent, braillent, gueulent au « wwwrrracisme ». Hormis les clowns des médias et de la politicaille vendue aux roitelets de l’islamo-pétrodollar, plus personne n’y croit. Et pour une excellente raison.

Promenez-vous en cités « françaises », riches en immigrants-envahisseurs africains, moyen- et proche-orientaux, et vous ouïrez les jolies appellations de « face de craie », de « fromage blanc », de « meuf à cul blanc », tandis que vous pourrez entendre et lire en tags (à l’orthographe hésitante voire purement phonétique) les ultra-classiques : « On va tous vous niquer », « Je nique ta mère », « On nique la France » (et les variantes à base de sodomie).

En clair : les injures racistes en France contemporaine sont quasi exclusivement à connotation anti-blanche ou anti-juive et proférées par d’honorables immigrés-envahisseurs ou leurs innombrables et merveilleux rejetons, plus doués pour la rapine, l’incendie et le vandalisme, le racket, le viol et le caillassage des voitures de police, de pompiers ou d’ambulances, que pour les études ou l’exercice d’un métier.

Après ce triste constat – et l’on n’a même pas évoqué les attentats qui ont endeuillé le pays depuis 2014 –, l’alternative se pose : laisser faire ou réagir.

Si l’on a besoin d’immigrés pour stimuler l’activité économique de la France, choisissons-les en Europe – qui, il est bon de le rappeler, est le continent d’origine et de développement de la race blanche. Les amoureux du métissage ont devant eux les autres continents pour étancher leur soif d’exotisme.

Il est temps, voire grand temps, de décider si nous allons continuer à tolérer lâchement la colonisation de notre patrie par des Extra-Européens qui n’ont pas de civilisation évoluée à nous apporter, mais des rythmes de travail de type exotique (c’est-à-dire : où la palabre tient davantage de place que le travail effectif), des usages médiévaux, une religion de haine et d’exclusion.

Ou si nous allons imposer le grand retour des Africains et des Moyens- et Proches-Orientaux dans leurs terres ancestrales, en appliquant bien sûr le principe du regroupement familial. On peut même offrir aux « remigrants » les collaborateurs de l’invasion, qui – ayant une mentalité d’esclaves – pourront exercer là-bas leurs talents, puisque l’esclavage est licite en terres de charî’a.

Le choix est clair : la barbarie exotique ou le retour aux fondamentaux européens.

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Philippe Randa,
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