15 novembre 2016

Un échec pour la Davos Goldman Sachs idéologie

Par Pieter Kerstens

La caste politico-médiatique nous avait annoncé l’incontestable victoire de Dame Hillary aux élections présidentielles américaines et nous avait avertis d’un cataclysme si Donald Trump l’emportait (comme les ténèbres couvrant le pays : 9plaie d’Egypte) ?

Aussi, c’est avec stupeur et colère que la Davos Goldman Sachs Idéologie (DGSI) a encaissé le verdict des urnes, l’arrivée de Donald Trump à la Maison Blanche et le réveil de la majorité silencieuse américaine.

Pas de krach boursier, l’or n’a pas explosé, le prix du baril de pétrole n’a pas augmenté d’un dollar de plus et les prix des matières premières ne se sont pas non plus effondrées. Au contraire, Wall Street affiche un record ce 10 novembre 2016 !

Le public américain a été matraqué depuis des mois par l’image d’un homme qualifié d’immonde et affublé de toutes les descriptions les plus infamantes et injurieuses par l’Establishment. Toutes les manœuvres pour disqualifier un prétendant à la fonction suprême ont été fidèlement relayées par les valets du mondialisme et les eurocrates de Bruxelles, sans discernement et sans aucun contrôle. Le boomerang leur est revenu en pleine face.

C’est l’Amérique profonde qui s’est exprimée, celle que le Système a exclu des sondages. Cette population méprisée au détriment des « minorités », ce peuple qualifié de misogyne, d’inculte ou de raciste et sur lequel les élites ont craché pendant des années. Année après année, le « petit blanc » américain subit les utopies de l’administration US et constate amèrement que les derniers présidents ont conduit son pays au chaos. En effet, au 10 novembre 2016 la dette publique s’élevait à 19.816 milliards de dollars, soit 61.000 dollars par habitant. Les USA comptaient 152 millions d’actifs au 10 novembre 2016, alors qu’ils étaient plus de 155 millions en 2000.

Les inactifs se montent à 94 millions maintenant alors qu’ils n’étaient que 79 millions en 2000 ; 124 millions d’actifs seulement ont un emploi à temps plein ; 43 millions d’américains vivent sous le seuil de pauvreté et 42 millions d’habitants bénéficient de bons alimentaires. Plus de 27 millions d’actifs ont 2 ou 3 boulots pour survivre. Alors, on comprend mieux pourquoi l’Amérique « profonde » s’est enfin réveillée !

Pour sa part, la chanteuse Miley Cirus avait promis de quitter les USA si Donald Trump était élu, tout comme Lady Gaga, l’humoriste Amy Shumer, l’acteur Alec Baldwin, la chroniqueuse télé Oprah Winfrey et la chanteuse Beyoncé. BYE, BYE ! Et qu’ils emmènent dans leurs valises leurs camarades multimillionnaires du show-bizz ou du sport qui eux aussi vomissaient sur Donald Trump : Adios Kat Perry, Jay-Z, Barbara Streisand, Cher, Samuel L. Jackson, Woopi Goldberg, Lena Dunham, Amber Rose, Robert Di Niro ou encore Spike Lee, parmi les plus insupportables donneurs de leçons et moralisateurs de poubelles.

Qu’ils se cassent, vite, et n’encombrent plus les médias avec leurs discours nauséeux et arrogants, qui nous rappellent les heures les plus sombres de notre histoire dictées par les nomenklaturas marxistes.

NB : Les habitants d’Alep, eux, ont fêté la défaite d’Hillary Clinton, accusée d’être un soutien aux groupes terroristes.

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Philippe Randa,
Directeur d’EuroLibertés.

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