16 février 2018

L’exploitation de la culpabilité des Européens

Par admin

 

Les associations antiracistes ont trouvé le filon : l’exploitation de la culpabilité des Européens et des Français en particulier. Nous subissons depuis des décennies une violence imméritée du fait d’une faute grave commise par des commerçants négriers, il y a 400 ans.

Comme la plupart des Français de souche, nos ancêtres ignoraient cette traite négrière, ne savaient même pas ce qu’était un Noir et encore moins que ces négriers allaient faire leur marché sur les côtes africaines, achetant aux commerçants noirs locaux, aux chefs de tribus, les captifs qu’ils avaient à l’intérieur des terres.

Nos ancêtres étaient fourbus par des heures de travail qu’ils devaient faire sur leurs lopins de terre ou pour le propriétaire agriculteur du coin. Le plus souvent, ils étaient eux aussi des sortes d’esclaves, les chaînes en moins !

Que disent les Danielle Obono, les Rokhaya Diallo des conditions de vie de leurs frères noirs à l’époque ? La négritude française s’en moque. Elle poursuit son travail de sape et n’a cure des réalités historiques.

Oui, ce sont bien des Noirs, ancêtres de ceux qui viennent aujourd’hui nous expliquer ô combien ! le Blanc fut méchant, satanique, diabolique, hypocrite, sadique, et que sais-je encore ? Mais que disent-ils de leurs ancêtres, aux mœurs de tribus, de clans, qui n’avaient guère d’empathie pour les tribus voisines tout aussi noires qu’elles ?

Pourquoi ne se penchent-ils pas sur les actions de leurs frères noirs de l’époque qui avaient des esclaves, des captifs et qui les vendaient aux négriers blancs, ou encore les destinaient à la boucherie d’Oubangui comme l’a raconté Georges Clemenceau dans La mêlée sociale, livre qui rassemble une centaine d’articles qu’il a publiés entre 1893 et 1895 dans son journal La Justice et dans La Dépêche.

On y trouve de tout et en particulier cet article : « Un “Révérend Père” a visité, en septembre dernier, des villages de la rive droite de l’Oubangui (limite du Congo français), et voici le récit de ce qu’il a vu : « On amène des esclaves sur le marché, et celui qui ne peut pas se payer le luxe d’un esclave entier achète seulement un membre qu’il choisit à son goût. S’il choisit le bras, le client fait une marque longitudinale avec une sorte de craie blanche, et le propriétaire attend qu’un autre client choisisse un autre bras et lui fasse la même marque. Chacun choisit ainsi les bras, les jambes, la poitrine, etc. ; et lorsque tous les membres ont été marqués, on coupe tout simplement la tête du pauvre esclave, qui est immédiatement dévoré sur place. »

Georges Clemenceau à l’époque, était un leader d’opposition intransigeant, député radical siégeant à l’extrême gauche du Parlement. Il ajoute : « Quelles pouvaient être les pensées de ces noirs qui voyaient leurs frères se partager leur futur cadavre ? Sans doute pensaient-ils que la veille encore, ils en faisaient autant. »

Georges Clemenceau, La mêlée sociale (réédité en 2014 chez Honoré Champion, Paris  ).

Georges Clemenceau, La mêlée sociale (réédité en 2014 chez Honoré Champion, Paris ).

La gauche de l’époque était curieuse d’ailleurs, avec un Jules Ferry poussant à la colonisation de l’Afrique pour les tirer vers le haut (pensait-il), et venir en aide aux « êtres inférieurs », leur apporter la civilisation. Une pensée validée par un Léon Blum sur l’impérieux devoir d’aider les Africains à accéder au progrès civilisateur !

Clemenceau était d’extrême gauche à l’époque, anti-colonisation (la Droite voulait centrer les moyens sur la revanche et récupérer l’Alsace-Lorraine), mais pour des raisons tout aussi horribles !

« Si nous apportons avec la civilisation l’interdiction du cannibalisme, n’allons-nous pas les condamner à la famine ? »

Quel curieux personnage que ce Clemenceau qui n’imaginait pas autre chose que de laisser faire !

Mais au regard des événements actuels, on peut légitimement se demander si finalement, il n’aurait pas eu raison ! Certes, combien de ces Divas de la négritude – les Christiane Taubira, Danielle Obono, Rockhaya Diallo, Fania Noël, Laétitia Avia, etc. – seraient de ce monde si leurs ancêtres s’étaient fait acheter, puis déguster par leurs frères noirs !

Pourquoi ces bonnes âmes antiracistes ne condamnent pas l’esclavage arabo-musulman qui a fait plusieurs milliers de victimes noires, femmes, enfants et vieillards… et les hommes noirs apportés dans les usines à castration dont peu en sortaient vivants ?

La mortalité dans la traite négrière et son transport à travers le désert, a été effrayante. De même ceux venant de la traite des Blancs venus du Caucase, dont se moquent allègrement les Divas !

Qu’en pensent tous ces pleureurs de la négritude aujourd’hui, et qui nous bassinent avec leurs discours racistes ? Qu’en pense le CRAN qui nous fait un discours sur le pseudo-raciste Colbert et son code noir, qui spécifiait en humanisant les règles et les interdits envers les esclaves noirs dans les colonies ? En Histoire comme en géopolitique, il faut toujours tenir compte du contexte !

Qu’en pensent ces politiciens de la négritude qui veulent se faire la peau des Blancs après en avoir bien goûté les délices, la vie bourgeoise, les subventions, les études, le loger et le couvert ?

Pourquoi ne disent-ils pas que le Libéria fut un pays qui n’a jamais été colonisé… sauf par les esclaves noirs (américains désireux de revenir en Afrique : Monrovia est la Capitale, le drapeau libérien est celui des USA avec une seule étoile) ? Ce sont les Noirs américains, riches de leurs expériences d’esclaves, qui mirent en esclavage… les populations locales !

Le racisme n’est pas de mise. Le racisme est une excuse de noirs nantis. Le racisme est un prétexte pour flinguer du Blanc et celui-ci, par culpabilité, se laisse aller à l’abattoir droits-de-l’hommiste !

Un seul exemple montre ce qu’est l’homme – qu’il soit noir ou autre – sa violence, ses mœurs, ses coutumes tribales : au Libéria, en 1996, la faction à laquelle Butt Naked est associé subissait les assauts des combattants de Charles Taylor, alors président du Liberia.

Butt Naked se bat en plein Monrovia, ravageant des quartiers entiers, des sexes d’hommes coupés dans les mains. Il reconnaît 20 000 morts, sur les quelque 250 000 engendrés par les douze années de guerre.

« Ma culture est celle de l’ethnie Krahn qui m’a enseigné cette violence, cette habitude de la domination du plus faible par le plus fort », dit-il.

C’est lors de ce combat qu’il aurait, assure-t-il, « vu la lumière » : « Le Christ m’est apparu, m’a dit de me repentir, alors que j’avais sur les mains le sang d’un enfant. “J’ai obéi” ».

La vérité est sans doute plus prosaïque. Sa milice défaite, il a dû fuir et prendre le chemin du Ghana. Seule certitude, redevenu Joshua Milton Blahyi, il ne cesse depuis de se battre la coulpe, d’avouer ses fautes à l’église, dans des livres, des films… en fait, dans le vide car le général repentant n’a pas vu de juge et n’a pas passé un seul jour en prison. Il se dit prêt à affronter la justice, mais la justice ne semble pas le vouloir. (Figaro du 9 février, page 15, article de Tanguy Berthemet).

Que les adeptes de la négritude revancharde prennent conscience de la chance qu’ils ont d’être dans un pays qui se laisse faire, se laisse insulter, se laisse culpabiliser et se laisse détruire à petits feux par leur venin distillé à fortes doses. Partout sur nos affiches publicitaires, au cinéma, dans les jeux, nous voyons les Blancs mis peu à peu en retrait.

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