1 avril 2020

« fake news » made in Amazon

Par Philippe Randa

Amazon-ci, Amazon-ça… Incontournable Amazon, géant yankee de diffusion, d’abord de livres, puis de tout ce qui peut se vendre via internet. Tout, absolument tout… C’est dire si la pandémie coronavirienne doit être, objectivement, une aubaine pour cette société. À tel point que le 17 mars dernier, elle annonçait le recrutement de 100 000 personnes afin de faire face aux commandes en ligne.

Amazon

Bruno Le Maire, ministre de l’Économie, a même un temps envisagé l’autorisation de réouverture des librairies afin que le monstre ne dévore pas tout crû le marché, accédant ainsi au monopole de la distribution des livres ; un objectif dont il ne s’est jamais caché et dont il se serait rapproché en récupérant les ventes des librairies indépendantes qui seraient donc, elle, deux fois victimes du coronavirus.

Oui, mais… Une semaine plus tard, autre annonce d’Amazon qui va restreindre les achats de produits peu « prioritaires » en France et en Italie. Même si la liste « … des produits considérés comme tels n’est toutefois pas précisée dans le détail, Amazon ayant seulement indiqué par voie de presse que ce seront les produits de base pour la maison ou d’hygiène qui auront la priorité sur les autres, en France et en Italie, comme aux États-Unis », précise Le Monde.Fake newsCar figurez-vous que dès la première semaine de confinement, un diffuseur parisien nous apprenait qu’il allait restreindre encore plus que prévu ses activités car il n’avait non seulement plus de « commandes libraires » (fermeture oblige), mais également plus d’Amazon, ni même des FNAC.

Les « 100 000 emplois » ont donc été annoncés un peu (trop) rapidement… ou de mauvais esprits pourraient considérer que cela n’a été qu’un simple effet d’annonce d’Amazon soit, dans le jargon actuel, une « fake news »… ou bien un simple « coup de pub » facile et pas cher.

 

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