21 janvier 2019

Brèves d’Europe

Par Patrick Parment

Union européenne. Le nombre d’Européens qui estiment que le terrorisme est un des principaux défis de l’UE a baissé (de 44 % à 20 %) et c’est l’immigration qui est la principale préoccupation selon l’enquête Eurobaromètre (40 %). Le changement climatique arrive en 5e position.

Avec le soutien du Parlement Européen et de la République française, l’African Diaspora Youth Forum in Europe (Adyfe) mène une campagne visant à ce qu’un maximum de personnes d’origine africaine votent aux prochaines élections européennes. Objectif : contrer la montée des partis dits populistes ou d’extrême droite. Bref, des Blancs !

Brexit oblige, le départ des élus britanniques du Parlement européen, prévu en mars, bouleverse les rapports de force au sein de l’hémicycle de Strasbourg. Tout particulièrement entre ses trois groupes eurosceptiques – l’ENL, l’EFDD et l’ECR –, dont seuls deux seront en capacité de se maintenir.

Avec le ralliement de Debout la France, comme du jeune parti national conservateur espagnol Vox, le groupe ECR (Conservateurs et réformistes européens) rassemblerait 21 nationalités différentes et pourrait tabler, selon les sondages, entre 80 et 130 élus en mai prochain.

Danemark. Le gazoduc devant acheminer le gaz russe vers l’Allemagne progresse. Sauf qu’il vient d’être bloqué par le Danemark, seul pays à n’avoir toujours pas délivré de permis de construction pour la portion de Nord Stream 2 passant près de son île de Bornholm, au sud de la Suède.

Le Premier ministre danois, Lars Lokke Rasmussen, estime que l’« implication politique » de l’infrastructure ne peut être ignorée et devrait être discutée à Bruxelles. En attendant, le chef du gouvernement libéral-conservateur a déclaré qu’il ferait son possible pour « retarder » le projet, même s’il ne peut « l’empcher ».

Espagne. Le gouvernement du Premier ministre socialiste Sanchez a repoussé la demande de la famille du Caudillo de transférer sa dépouille dans la crypte de la cathédrale de l’Almudena à Madrid où la famille du Général détient un caveau. De peur d’en faire un nouveau sanctuaire… au cœur de Madrid !

Roumanie. L’un des pays les plus pauvres de l’Europe prend pour la première fois, le 1er janvier, la présidence de l’Union européenne à laquelle elle appartient depuis 2007. Lorsqu’un pays prend la présidence de l’UE, il fixe ses priorités. Celles de la Roumanie semblent peu ambitieuses, mais il faut dire qu’entre le Brexit et les élections européennes prévues en mai, sa présidence sera courte.

Serbie. Les manifestations se multiplient contre le président Aleksandar Vucic, ancien membre du nationaliste Parti radical serbe et qui a été élu sous les couleurs du Parti progressiste serbe, une formation centriste pro-européenne.

Selon l’opposition, le gouvernement serbe serait à l’origine de violences politiques, mais aussi du musellement des médias et de la société civile. De son côté le Parlement européen précise que les autorités serbes sont « fortement encouragées » « améliorer la situation concernant la liberté d’expression et la liberté de la presse. »

EuroLibertés : toujours mieux vous ré-informer … GRÂCE À VOUS !

Ne financez pas le système ! Financez EuroLibertés !

EuroLibertés ré-informe parce qu’EuroLibertés est un média qui ne dépend ni du Système, ni des banques, ni des lobbies et qui est dégagé de tout politiquement correct.

Fort d’une audience grandissante avec 60 000 visiteurs uniques par mois, EuroLibertés est un acteur incontournable de dissection des politiques européennes menées dans les États européens membres ou non de l’Union européenne.

Ne bénéficiant d’aucune subvention, à la différence des médias du système, et intégralement animé par des bénévoles, EuroLibertés a néanmoins un coût qui englobe les frais de création et d’administration du site, les mailings de promotion et enfin les déplacements indispensables pour la réalisation d’interviews.

EuroLibertés est un organe de presse d’intérêt général. Chaque don ouvre droit à une déduction fiscale à hauteur de 66 %. À titre d’exemple, un don de 100 euros offre une déduction fiscale de 66 euros. Ainsi, votre don ne vous coûte en réalité que 34 euros.

Philippe Randa,
Directeur d’EuroLibertés.

Quatre solutions pour nous soutenir :

1 : Faire un don par virement bancaire

Titulaire du compte (Account Owner) : EURO LIBERTES
Domiciliation : CIC FOUESNANT
IBAN (International Bank Account Number) :
FR76 3004 7140 6700 0202 0390 185
BIC (Bank Identifier Code) : CMCIFRPP

2 : Faire un don par paypal (paiement sécurisé SSL)

Sur le site EuroLibertés (www.eurolibertes.com), en cliquant, vous serez alors redirigé vers le site de paiement en ligne PayPal. Transaction 100 % sécurisée.
 

3 : Faire un don par chèque bancaire à l’ordre d’EuroLibertés

à retourner à : EuroLibertés
BP 400 35 – 94271 Le Kremlin-Bicêtre cedex – France

4 : Faire un don par carte bancaire

Pour cela, téléphonez à Marie-France Marceau au 06 77 60 24  99

Partager :